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ADC et Com’Air : L’opération de la restructuration est contestée.

Mots clés: Édition 499Trending
2 octobre 2024
Temps de lecture : 5 mins
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ADC et Com’Air : L’opération de la restructuration est contestée.
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Lors d’une conférence de presse, le syndicat CTTC a expliqué les raisons du récent mouvement des agents de l’aéroport de Hahaya et indiqué les mesures envisagées.

Par Hachim Mohamed

Sept journalistes ont assisté à un point de presse qui s’est tenu dans le bureau de la Confédération des Travailleurs et des Travailleuses des Comores (CTTC) sur la privatisation de l’Aéroport international de Moroni Prince Saïd Ibrahim (AIMPSI) avec un licenciement de masse prévu sur environ 900 agents.

L’ex-Secrétaire général, Salim Soulaimana a contextualisé cette volonté de privatisation du patrimoine de l’état comorien. Dans une interview accordée à Masiwa (n°491 du 6 août 2024), il mettait déjà en garde contre cette décision de l’État comorien, hors de tout cadre légal et en ne tenant pas compte des intérêts du personnel.

C’est une situation qui s’est déjà produite dans les années 1990, période pendant laquelle la France semblait vouloir lâcher financièrement un certain nombre de pays africains.

Parlant en tant que délégué du syndicat des employés de l’aéroport affilié au CTTC, l’ex-Secrétaire général a estimé que la gestion du dossier n’a pas tenu compte des lois du pays régissant le contrat de travail. Ainsi, dans la législation lorsqu’un employeur souhaite licencier un salarié, il doit préciser le motif du licenciement dans une lettre envoyée au salarié. Et lorsque le motif invoqué par l’employeur ne s’appuie pas sur des faits réels, n’est pas objectif, n’étant pas suffisant pour justifier le licenciement du salarié, c’est foncièrement un licenciement abusif avec nos compatriotes qui sont contraints de quitter leur emploi par la direction de l’aéroport. 

Risque de mettre 600 agents sur la paille

Sur la privatisation de l’aéroport, il est clair que l’idéologie galopante est à la paupérisation générale du salariat au profit d’intérêts privés, et ce sans distinction entre salariés du privé ou du public.

À en croire Salim Soulaimana, ce sont les agents qui ont entre 5 et 35 ans d’ancienneté, soit 95% des travailleurs qui vont faire les frais, ceux qui ont des CDI (contrats à Durée indéterminée) et les premières victimes seront les cadres supérieurs.

Il ajoute que certains agents vivent avec plus de quatre mois sans salaire et la décision unilatérale de privatisation sans concertation risque de mettre 600 employés au chômage. Salim Soulaimana a tiré la sonnette d’alarme sur le climat d’indifférence affiché par les autorités quant au sort des travailleurs de l’aéroport. Cela représente une inquiétude d’autant plus que dans la gestion du secteur des transports aériens le devoir du gouvernement est de préparer l’avenir et de trouver des accords qui servent au mieux et en toutes circonstances l’intérêt général.

Un dilemme se pose entre la promotion du bien-être de l’entreprise, avec un nouveau preneur et la défense des intérêts des travailleurs de l’aéroport. Selon Salim Soulaimana, le scénario catastrophe qui se déroule sous nos yeux semble trop huilé pour se contenter de dire que finalement seuls les balayeurs et les femmes de ménage ont encore la chance d’être conservés. Avec ces nouveaux chômeurs, la pauvreté va gagner plusieurs centaines de familles qui avaient déjà un revenu médiocre.

Salim Soulaimana insiste sur le fait qu’à part quelques informations distillées selon lesquelles le gouvernement comorien aurait signé une convention avec une société émiratie, TAM AMA (basée en Guinée équatoriale), pour gérer l’AIMPSI, jusqu’à présent personne n’a vu le document du contrat de concession.

Pour recadrer son approche sur cette privatisation, lors des évènements récents à l’aéroport, le gouvernement à travers le directeur de cabinet et le ministre de l’Intérieur a reconnu la vente, tout en précisant que seul 1/3 des effectifs sera maintenu. Salim Soulaimana ajoute que ce qui est inquiétant, c’est que le ministre des Transports  brille par son absence sur ce dossier.

Examen obligatoire pour une éventuelle réinsertion des employés

Il s’avère difficile de lire l’avenir de la société et de mesurer avec justesse comment se portera la société. La direction de la société, selon certaines indiscrétions, ne donne pas une marge de manœuvre aux travailleurs en créant un groupe watsapp. Une plateforme sur laquelle ces employés sont tenus d’aller voir dans quelle mesure ils peuvent être réinsérés via un test.

Dans un document fourni aux médias, il est expliqué comment l’opération de restructuration des entités ADC et Com’Air est envisagé. « Comment on peut demander à des travailleurs dont certains ont au bas mot 15 ans d’heures de vol dans la société un test d’évaluation pour une éventuelle réinsertion avec le nouveau repreneur ? C’est un contresens terrible », s’est scandalisé l’ex-SG de CTTC.

S’agissant de ce plan national élaboré pour l’ensemble des personnels ADC et Com’Air Assistance, qui devait s’effectuer du 20 au 22 septembre 2024 de 9 heures à 16 heures à l’Hôtel Golden Tulip. Cela a déclenché un mouvement social des salariées de l’aéroport pour protester contre cet « examen » que la direction veut leur imposer.

Les journalistes doivent interpeller le ministre.

La restructuration des entités ADC et Com’Air décidée unilatéralement par le nouveau repreneur, est bel et bien une précarisation de la protection des travailleurs.Il est donc aussi utopique de penser que ces travailleurs sont facilement remplaçables et interchangeables, sans conséquence pour les employeurs et l’économie.

À la question d’un journaliste qui a demandé si dans cette affaire le syndicat des employés de l’aéroport a saisi l’Inspection du travail, l’ex-SG est formel. Par respect des procédures, le dossier passe toujours par l’Inspection du Travail, ensuite la justice pour aboutir éventuellement à la Cour Suprême.

Il explique que sous la houlette de la CTTC, les travailleurs ont obtenu gain de cause dans le combat judiciaire contre les licenciements de masse sans un dialogue social.

Salim Soulaimana a profité de l’occasion pour jeter la pierre aux journalistes à qui il demande d’aller interroger et interpeler le ministre des Transports pour se forger une opinion sur le dossier de l’aéroport.

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