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Notre pays vit déjà dans le chaos.

Mots clés: Edition 518Trending
10 février 2025
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Notre pays vit déjà dans le chaos.
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L’indifférence totale et le mépris absolu du régime illégitime d’Azali Assoumani envers les Comoriens sont sans égal. La souffrance d’un peuple, que certains qualifient de lâche, et d’autres de naïf, mais que je qualifie plutôt d’impuissant face au mal qu’il subit de ces politiques irresponsables à la tête de notre pays, dépasse largement l’entendement.

Par Djo Bacari

C’est l’anarchie qui règne aux Comores depuis 2016. Les faits et les évènements ne cessent de se répéter. Les viols, les meurtres, les assassinats, les emprisonnements arbitraires, les tortures, le manque d’eau potable, le noir et la chaleur à cause du manque criant d’électricité rythment malheureusement le quotidien des Comoriens.

La jeunesse est en dérive, sachant que les responsables de la déviation de notre jeunesse sont celles et ceux censés leur proposer des écoles et des universités dignes de former des citoyens respectueux des lois. Des citoyens qui sauront comment se comporter soi-même et comment se comporter envers les autres. Des écoles et universités qui apprendraient à chaque citoyen les trois choses nécessaires à connaître et a strictement respecté pour le mieux vivre ensemble : « c’est à moi, c’est à toi et c’est à nous ».

Des citoyens qui sauront que seulement ce qui est à moi je peux faire ce que je souhaite faire avec sans la permission de qui que ce soit pourvu que je ne dérange pas les autres. Ce qui est à l’autre (à toi) n’est absolument pas à moi. Cela dit que, pour l’avoir, une demande de permission m’est obligatoire, le cas contraire ce serait illégal, donc, condamnable. Ce qui est à nous tous n’est pas permis à une seule personne ou à un groupe de personnes de s’en servir, encore moins à l’insu de tout le monde, car ce serait du vol, un acte répréhensible qui mérite justice suivie d’emprisonnement.

Ces trois choses ne sont malheureusement pas enseignées à nos jeunes. Au contraire, celles et ceux qui sont à la tête de notre pays leur enseignent que le directeur d’une Société d’État telle que Comores-Télécom, Comores-Hydrocarbures, Comores-câbles, Direction des douanes, Direction des impôts, et j’en passe, a pleinement le droit de dépenser l’argent de l’institution pour ses propres besoins. Des directeurs à la tête de ces sociétés juteuses se sont enrichis en vidant les caisses de celle-ci sans qu’ils soient inquiétés une seule seconde par la Justice.

Pourtant, l’argent qui entre dans toutes ces sociétés est à nous tous. Aucune loi ne permet aux administrateurs de celles-ci de faire ce qu’ils veulent de notre argent à tous. Comme ils le font en période de campagne présidentielle et législative, en utilisant les voitures de services, carburant pour les missions des services et les chauffeurs. Ces actes condamnables méritent justice et emprisonnement.

Le vol de la souveraineté du peuple lors des votes est aussi un acte violent, donc condamnable qui mérite justice et emprisonnement. Les assassinats du major Moutu, major Bapalé, commandant Faysoil, Nassor, Fanou, Gazon, Ayman, Djaza, et j’en passe sont des actes condamnables qui méritent justice et emprisonnement. Les auteurs de tortures et assassinats sont coupables. Contrairement aux propos malsains et indignes d’une extrême barbarie, maquillés de démagogie, tenue par l’ex-ministre de la Justice Saïd Houssein qui trouve justes et corrects les exécutions de personnes précitées. Ce comportement de voyou que développent les hommes et femmes qui dirigent notre pays ouvre une brèche à de jeunes bandits comme Micro pour assassiner une jeune femme dépourvue de tout comportement malsain. Cette jeune femme, pieuse, connue en bien par le grand public. Cette jeune femme aux qualités nobles, à l’esprit sain. Les Comoriens demandent justice. Ils attendent que la justice donne des réponses.

Le Muftorat demande la peine de mort, des politiques aussi en demandent, tellement le choc est énorme. Nos cœurs saignent, les Comoriens se sentent perdus et surtout abandonnés dans leur perte. Un État de droit est inéluctable si nous voulons éradiquer ce mal qu’entretient le régime en place qui, depuis son arrivée au pouvoir, a fait le choix de l’impunité.

L’impunité face aux violeurs, aux assassins, aux meurtriers, aux corrupteurs et corrompus, aux voleurs de deniers publics. L’impunité est le mot d’ordre de ce régime en perdition. Les Comoriens sont convaincus que ce n’est pas avec un régime qui incarne le mal, et la mauvaise gestion qu’ils connaîtront une justice véritablement impartiale. Ce sera sûrement avec un autre qui serait choisi de façon démocratique. La peine de mort ne doit absolument pas concerner qu’une partie des meurtriers et assassins.

Couper la main d’un voleur ne doit pas concerner que les voleurs de chèvres. Il doit aussi concerner les voleurs des deniers publics, les assassins et meurtriers qui sont dans les camps militaires et dans nos prisons. Oui, le major Bapalé a été froidement assassiné dans le camp militaire de Sangani à Anjouan, le major Moutu, commandant Faysoil, Nassor ont été assassinés dans le camp militaire de Kandani, le jeune gendarme Fanou a été froidement assassiné en pleine garde à vue. Certains disent qu’il est exécuté au sein du quartier général de la garde présidentielle, d’autres disent que c’est au camp militaire de Voidjou, pendant que d’autres informations parlent d’un lieu secret sis entre le quartier de Sahara et Salimani.

Le plus important est de dire à celles et ceux qui dirigent ce pays qu’il n’est vraiment pas difficile de trouver les coupables de tous ces meurtres et assassinats. Mais les Comoriens ont bien compris qu’ils ont fait le choix de l’impunité. Les Comoriens sont convaincus que leur silence face à tous ces actes macabres n’est pas innocent. Il s’agit plutôt d’un silence complice. Les Comoriens ont soif de justice, mais d’une justice pour tous, d’une justice qui qui serait à la hauteur.

La ville de Mbéni, d’où est originaire Hikima Ahamada Himidi, a été plusieurs fois frappée par ce régime qui a envoyé des militaires saccager toute la ville, tiré sur sa jeunesse à balle réelle. Mbéni a été plusieurs fois victime de lynchage par ce régime. Aujourd’hui, avec la mort tragique de Hikima Ahamada Himidi, Mbéni est complètement dévastée, elle demande justice, la famille de la défunte demande justice. Toutes les villes et familles endeuillées par la perte d’un proche assassiné demandent justice. Nul, quel que soit son rang social, économique et financier, politique ou religieux, ne doit être au-dessus de la loi. Tout le monde est donc justiciable, ministres, députés, militaires, directeurs généraux des sociétés d’État, guide religieux, grand notable, président de la République comme tout citoyen.

Le taux de criminalité a augmenté dans notre pays. Ceux qui dirigent notre pays avec une main de fer le mènent vers le chaos et ils le savent. Les Comoriens aussi le savent. Tout le monde le sait, car les victimes de tous ces crimes sont connues. Ce sont leurs bourreaux qui ne sont pas encore connus officiellement. Les Comoriens dans leur majorité pensent que le régime en place y est pour quelque chose. Ce sentiment de suspicion des Comoriens envers le régime en place trouve ses justifications dans les méthodes et pratiques illégales de celui-ci.

Les affaires de notre pays et l’avenir du peuple comorien sont confiés à un seul homme, Nour El Fathou Azali, qui doit décider de tout, partout pour tout. Un homme inexpérimenté, arrogant, imbu de sa personne d’après celles et ceux qui le côtoient au quotidien. Ils le décrivent comme un homme qui croit tout connaître. Et qui croit qu’il a fourni des efforts pour être là où il est aujourd’hui.

L’anarchie règne dans notre pays, et quand c’est l’anarchie, personne ne s’étonne de l’augmentation des meurtres, assassinats, tortures dans les prisons après de multiples arrestations arbitraires et emprisonnements des opposants politiques. Dans l’anarchie, la peur règne, car c’est la loi du plus fort, et actuellement, avec l’armée comorienne sous les ordres du régime actuel, Azali et son clan restent les plus forts.

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