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École primaire de « sans-fil ». Contentieux sur le projet de rénovation

Mots clés: Edition 521Trending
3 mars 2025
Temps de lecture : 4 mins
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École primaire de « sans-fil ». Contentieux sur le projet de rénovation
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Après différents avis recueillis auprès des membres de l’association Maonahaya et parents d’élèves du quartier Sans-fil à Moroni, après analyse des différentes prises de parole des uns et des autres pendant une réunion qui s’est tenue le mardi 25 à Mouzdalifa House, à l’unanimité ils sont vent debout et manifestent leur mécontentement contre le projet de reconstruction (rénovation pour certains) d’une école primaire publique dans leur quartier.

Par Hachim Mohamed

Le motif avancé est que l’école est située juste en dessous du marché Volovolo et le choix est validé par le ministère de l’Éducation nationale et l’AFD (agence française de développement), sans tenir compte des besoins spécifiques relatifs à leur usage afin que les élèves, les enseignants et le personnel puissent travailler dans le confort et en sécurité.

Dans une lettre adressée au Directeur adjoint de l’AFD le 16 décembre 2024, dont Masiwa a obtenu copie, on fait état du non-respect du principe basé sur le consentement libre, préalable et éclairé.

Selon l’association, Maonahaya, c’est une attitude cavalière qui n’a pas pris en compte un droit fondamental des communautés, en vertu duquel une communauté peut donner ou refuser son consentement à tout projet.

Dans la liste des griefs adressés à l’AFD, l’association mentionnait une série de manquements, dont l’absence d’une étude de l’impact environnemental et sociétal basé  sur les coûts et les avantages ? L’association regrette aussi le fait que la consultation publique n’a pas impliqué la communauté de SanFil ni recueilli son avis sur le projet. Dans la même lettre, les familles dénoncent également l’opacité dans le cahier de charges permettant de suivre à la loupe le respect de la réalisation des travaux.

Pour l’intérêt supérieur des enfants, les habitants du quartier de SansFil situé sur les hauteurs de Volovolo auraient aimé trouver un site qui fasse l’unanimité, mais malheureusement cela n’a pas été le cas.

S’agissant de ces travaux de réhabilitation ou de l’extension de l’école primaire publique, ils s’inscrivent dans le cadre du programme « Bundo La Malezi », un projet d’amélioration de l’environnement scolaire (PAES).

Sur le financement du projet dénommé « plan de développement France-Comores » à travers l’AFD, les chiffres livrés par certains membres de l’association qui intervenaient par cantonade pendant les échanges sont troublants. « Au départ, on nous parle de 500 millions, ensuite la somme est revue à la baisse à hauteur de 400 à 300 millions », explique Moussa Hodar dans son exposé.

 Une cinquantaine de personnes à la gendarmerie

Perçu comme un « danger public » par les mauvaises langues, « maison de la culture » par les habitants du quartier, via son emblème, le projet de reconstruction de l’école primaire existe depuis 2022. Une année où deux rencontres ont été organisées sans parvenir à un accord entre le ministère de l’Éducation nationale et l’association Maonahaya qui ne veut pas d’un projet imposé, sans concertation, notamment avec le risque que représente le pôle multiservice de Volovolo qui expose les enfants et les habitants au bruit et à la pollution.

Pour rappel, ce projet a été validé unilatéralement par le ministère de l’Éducation et l’AFD. Le collectif des habitants s’est déjà mobilisé pour l’arrêt des travaux de reconstruction depuis la fin du mois de décembre 2024 et au début du janvier 2025.

Pour se faire entendre, le groupe de contestataire du quartier SansFil, il a fallu porter l’affaire à la gendarmerie. « Si pour faire pression sur les autorités  et  pour  le besoin de régler le contentieux  amiablement ou par médiation à la gendarmerie avec  Loukmane Azali, la délégation constituée  par  l’association ne comportait que peu de  personnes, lors du deuxième déplacement, le 4 février, c’était en masse avec une  cinquantaine  de personnes sur les lieux », a  révélé  le coordinateur de l’association  Saïd Ali El Mihidhar Saïd Bacar.  

Demande de modification du site

À en croire le secrétaire général de l’association, Moussa Hodar, qui a mis l’accent sur les conséquences des changements significatifs et durables, positifs et négatifs du projet  sur les enfants et l’environnement, le terrain choisi par le ministère pour la construction de cette école primaire n’est pas celui qui recueille le plus d’avantages.

Les membres de l’association, qui défendent l’idée d’une réhabilitation, ont vu le projet, en quelques années, passer du palashio (maison de culture comorienne avec un effectif de 106 élèves) à une école franco-arabe.  

Les interventions des uns et des autres pendant cette réunion ont montré qu’ils ne s’opposent pas à la future école primaire publique. Mais, à défaut de la mise en veille du projet et une véritable concertation, les membres de l’association Maonahaya réclament un autre emplacement, le site de la Coulée 1.

Elu le 20 janvier 2025 secrétariat général au sein de l’association Maonahaya de Moroni SanFil, Moussa Hodar a posté un deuxième courrier au Directeur adjoint de l’AFD le 20 février dernier pour demander un rendez-vous.

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