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FATIMA, LA VICTIME EXPIATOIRE, UNE FEMME DE LA MEME FAMILLE QUE L’UN DES BARONS DE LA CRC

Mots clés: Edition 490-491Trending
6 août 2024
Temps de lecture : 3 mins
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FATIMA, LA VICTIME EXPIATOIRE, UNE FEMME DE LA MEME FAMILLE QUE L’UN DES BARONS DE LA CRC
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Alors qu’elle a annoncé sur Facebook qu’elle se rend aux Comores et qu’elle n’a peur de s’y rendre parce qu’elle n’a rien à se reprocher, les autorités politiques ont offert à la justice comorienne Fatima Mzé Soilihi en sacrifice pour expier les contestations massives du régime d’Azali. Quelles sont les raisons qui ont poussé la justice comorienne à accepter de briser la vie d’une femme engagée pour la défense des droits civils et politiques aux Comores ? Car les propos incriminés ne sont qu’un condensé des dénonciations des fraudes massives des élections présidentielles et des gouverneurs des îles Comores et des propos mille fois dits et répétés par plusieurs personnes dans les réseaux sociaux depuis janvier 2024.
La diffamation reprochée à Madame Fatima Mzé Soilihi n’en est pas une. La vidéos, objet de la plainte, ne révèle pas l’existence des faits permettant de caractériser l’infraction de diffamation. En effet, les dispositions du Code Pénal Comorien ne sont pas d’une élasticité telle qu’elles puissent être étendues au simple fait de contestations générales des résultats électoraux de janvier 2024. Il ne ressort pas de la vidéo incriminée, aucune forme d’injures publiques justifiant des poursuites pénales pour diffamation.
Sur le chapitre 9 portant sur les délits contre personnes, l’article 234 du Code Pénal définit la diffamation comme étant :
« Toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation.
Lorsqu’elle a été faite par l’un des moyens visés en l’article 224, elle est punissable, même si elle vise une personne ou un corps non expressément nommé, mais dont l’identification est rendue possible par les termes des discours, cris, menaces, écrits, imprimés, placards ou affiches incriminés.
Toutes expressions outrageantes, termes de mépris ou invectives qui ne renferment l’imputation d’aucun fait matériel sont une injure ».
On peut constater seulement que la qualification pénale des faits reprochés à Madame Fatima Mzé Said, est en vérité une infraction politique qui tend à museler davantage la société civile pour éviter toute forme de soulèvement insurrectionnel contre le régime actuel.

En revanche, le choix de Fatima Mzé Said n’est pas le fruit du hasard. Elle est native de Foumbouni et de même famille que l’un des barons de la CRC. Le signal est fort. Que personne ne s’aventure à critiquer le régime politique d’Azali. Passer outre cet avertissement très solennel entrainera des conséquences extrêmement graves pour son auteur. Il peut passer de vie à trépas. La famille politique de la CRC sort les vieilles recettes des régimes sanguinaires de l’histoire politiques où le chef n’hésitait pas à sacrifier le frère, la sœur, le cousin ou un membre de la famille très proche pour assoir son autorité et pour faire régner la peur dans la cité pour que personne n’ose contester sa légitimité politique.
Comment peut-il en être autrement qu’il ne s’agit pas d’une infraction politique alors qu’au regard des annales judiciaires des Comores, les prétendues victimes de propos diffamatoires ont toujours été des hommes politiques ? Et chacun constatera que toutes les poursuites pénales pour injures et diffamations visent principalement des personnes issues de l’opposition.
On ne peut pas nier que la stratégie de l’intimidation et de la persécution de la population comorienne produit les effets escomptés. Car malgré la contestation générale du régime d’Azali, le système politique est toujours debout. La caisse de résonance de cette poignée d’individus qui contestent ouvertement l’appropriation du pouvoir étatique par un groupuscule d’individus est pour le moment inaudible.
Mais pour combien de temps encore ? Car aucune dictature politique n’est éternelle. Il viendra un moment où après tant d’humiliation et de brutalités, la population ne pourrait plus accepter de subir. Quand les citoyens sentent qu’ils n’ont plus rien à perde parce qu’il ne lui reste plus aucune parcelle de vie ni de dignité humaine, elle dira « NDAMI AWOU NDAWE ».
A ce moment-là, l’imposante étreinte qui étouffe chacun des Comoriens sera brisée et les caciques du régime actuel risquent de payer le prix le plus lourd.

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