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Élections en Tanzanie. L’opposition neutralisée

Mots clés: A la uneEdition 555
27 octobre 2025
Temps de lecture : 11 mins
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Élections en Tanzanie. L’opposition neutralisée
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Le 29 octobre 2025, la République unie de Tanzanie tiendra sa septième élection générale depuis le retour du multipartisme dans le pays en 19921, dans un contexte de répression contre les opposants.

Par Djambaé Shohezi

Pour comprendre les élections qui vont se dérouler en Tanzanie le 29 octobre prochain, il faut savoir que la République unie de Tanzanie est structurée autour d’un système à deux gouvernements. Le gouvernement de l’Union détient les compétences régaliennes et celui de Zanzibar gère les affaires internes de l’archipel, c’est-à-dire les affaires qui ne s’inscrivent pas dans le cadre des accords de l’Union, tels que justice et bonne gouvernance, finance, économie, santé, affaires sociales, agriculture, éducation, sports, tourisme, etc.

Chaque électeur de la partie continentale de la République (ex-Tanganyika) aura trois bulletins à glisser dans les urnes pour élire (1) le président de l’Union, (2) son parlementaire et (3) son représentant local. Un Zanzibari aura quant à lui à glisser cinq bulletins, pour élire (1) le président de l’Union, (2) le président de Zanzibar, (3) son parlementaire à l’assemblée de l’Union, (4) son représentant à la chambre des représentants de Zanzibar et (5) son représentant local.

Deux commissions électorales distinctes supervisent les élections, Independent National Électoral Commission (INEC) et Zanzibar Électoral Commission (ZEC). Vu leur nombre, beaucoup moins d’un million de votants, la participation des Zanzibaris aux élections présidentielles de l’Union, n’a aucun impact sur les résultats face à plus de trente-sept millions d’électeurs de Tanzanie continentale.

La Présidence de l’Union

Dix-sept candidats sont en lice pour la présidence de la République unie. La présidente en exercice, Samia Suluhu Hassan, a présenté sa candidature au début du mois d’août. Tout semble montrer qu’elle n’aura pas une véritable opposition pour l’empêcher de remporter les élections dès le premier tour. Son parti politique, Chama Cha Mapinduzi (CCM), parti de la révolution, se trouve sans opposition notable. Le parti principal d’opposition, Chama cha Demokrasia na Maendeleo (CHADEMA)2, est exclu de toute participation électorale jusqu’en 2030 pour son refus de signer le code de conduite. Son leader, Tundu Antipasi Lissu, est en prison depuis le 9 avril 2025. Il est poursuivi pour haute trahison, passible à la peine de mort. Son incarcération est intervenue après son discours lors d’un rassemblement de CHADEMA dans la ville de Mbinga, Ruvuma, dans le sud-est de la Tanzanie.  Cette arrestation et l’interdiction de son parti de participer au scrutin sont perçues par de nombreux observateurs comme une tentative de museler l’opposition. Ainsi, de vives critiques tant au niveau national qu’international ont été soulevées.

Depuis, le principal parti d’opposition, CHADEMA, mène une campagne pour boycotter les élections, sous la bannière de « No Reforms No Elections ».

Le deuxième parti d’opposition, ACT Wazalendo, qui avait décidé de participer pleinement aux élections, se retrouve sans candidat après l’invalidation de l’enregistrement de Luhaga Mpina qui devait arborer les couleurs de son parti pour les élections présidentielles. Le rejet de sa candidature a été justifié pour non-respect des procédures. Cette décision a été contestée en justice à deux reprises sans avoir gain de cause.

La première présidence de Samia Suluhu Hassan

Cette situation engendre un climat politique particulièrement tendu, marqué par des accusations de répression de l’opposition et des préoccupations croissantes concernant l’équité du processus électoral, crucial pour l’avenir politique et économique.

Samia Suluhu Hassan était la vice-présidente de la République unie de Tanzanie sous la présidence de John Pombe Magufuli3. Elle est arrivée au pouvoir dans des circonstances particulières, à la suite du décès le 17 mars 2021 de son prédécesseur. Bien appréciée en jouant au début de sa mandature l’apaisement politique après plus de six ans d’un pouvoir autocratique, la présidente Samia Suluhu Hassan avait redonné de l’espoir à tout un peuple. Elle avait libéré les prisonniers politiques, autorisé les activités partisanes dans le pays, y compris les meetings publics. Elle a mis en place et promu la stratégie des « Quatre R », c’est-à-dire Réconciliation, Réformes, Résilience et Reconstruction.

Quatre ans après, elle change complètement sa ligne politique, en orchestrant une répression féroce contre ses opposants, à quelques mois d’un nouveau scrutin présidentiel. Les voix, dont celles du pasteur Josephat Gwajima, l’ancien Ambassadeur de la République unie de Tanzanie à Cuba, Humphrey Polepole, les intellectuels et les militants des droits humains en Tanzanie et dans le monde, y compris Amnesty International, se sont insurgés contre les disparitions, enlèvements et meurtres des critiques et opposants du régime. Ambassadeur Polepole, qui est devenu opposant farouche du régime, a étrangement disparu depuis quelques semaines4. Il en est de même pour le vice-président de CHADEMA, John Heche. Il a été d’abord empêché de traverser la frontière pour aller assister aux obsèques de l’ancien premier ministre de Kenya, Raila Oginga Odinga, et il a, depuis, disparu mystérieusement.

Une population délaissée

Parallèlement à la répression brutale, l’État déploie une stratégie plus subtile en fabriquant le consentement par le biais du « soft power ». Il investit massivement dans les artistes, les influenceurs et les médias d’état pour créer une image d’harmonie et de progrès. Dans la campagne médiatique menée par le pouvoir se trouvent notamment en première ligne les artistes Nasibu Abdul Juma Issak (Diamond Platnumz) et sa femme, Zuhura Othman Soud (Zuchu), ainsi que sa belle-mère, Khadija Kopa.

Cependant, la majorité de la population défavorisée est mise à l’écart. Le CCM se manifeste de plus en plus avec les riches hommes et femmes d’affaires5. Il se maintient au pouvoir par son appareil oppressif, et son discours est dénoncé par une partie de la population comme des mensonges. Aujourd’hui, soixante-quatre ans après l’indépendance, beaucoup de Tanzaniens défavorisés n’ont encore pas accès à des emplois dignes. L’accès à une éducation pertinente et à des soins médicaux convenables demeure problématique. L’accès à une santé décente est un privilège et la plupart des Tanzaniens, surtout ceux et celles des milieux ruraux n’ont pas un accès facile à la santé. Le taux de chômage est très élevé. Un nombre important des Tanzaniens gagne leur pain quotidien en opérant dans le secteur informel pendant que les élites politiques et commerciales s’enrichissent. Le népotisme est devenu la norme. Les postes importants au sein du parti au pouvoir, et au gouvernement, sont réservés à ceux qui appartiennent aux cercles restreints du pouvoir. Lors du prochain scrutin, la fille et le beau-fils du président Samia Suluhu Hassan de Tanzanie, les frères et sœurs du président Hussein Ali Mwinyi de Zanzibar, l’épouse et le fils de l’ancien président Jakaya Mrisho Kikwete de Tanzanie, leurs positions politiques sont assurées sans aucune concurrence.

En tant que présidente de l’Union originaire de Zanzibar, Samia Suluhu Hassan est aussi confrontée à une opposition farouche des Tanzaniens du continent, qui ont du mal à accepter qu’une Zanzibarie puisse diriger le pays. C’est la première fois dans l’histoire de l’Union qu’un président de la République unie vienne de Zanzibar. En plus, c’est une femme musulmane qui porte un hidjab. Ils ne se retrouvent pas en elle. Depuis, un nombre considérable de Tanzaniens du continent militent pour la création du gouvernement de Tanganyika. C’est une idée qui a toujours été revendiquée auparavant par les Zanzibaris qui voulaient que le Tanganyika ait son propre gouvernement, distinct de celui de l’Union, afin de clarifier les compétences de chaque entité de l’Union : Tanganyika et Zanzibar. L’aboutissement de ces revendications pourrait sceller la fin de la stratégie du parti au pouvoir, le CCM, qui cherche à substituer l’actuel système de deux gouvernements par un gouvernement unique. Si le gouvernement de Tanganyika devait voir le jour, la Tanzanie passerait au système de trois gouvernements ; ce qui correspondrait à l’opinion de la majorité de la population, exprimée devant la commission constitutionnelle présidée par l’ancien Premier ministre Joseph Warioba6.

Zanzibar

Plusieurs partis sont en lice aux élections de Zanzibar, mais ce sont deux partis seulement qui ont de représentations notables, et sont au coude à coude : le parti au pouvoir, Chama cha Mapinduzi (CCM) et Alliance for Change and Transparency (ACT Wazalendo).

Le premier est représenté par l’actuel président de Zanzibar, Hussein Ali Hassan Mwinyi7, et le second par l’ancien Procureur General de Zanzibar, et actuel vice-président du gouvernement de l’Union nationale de Zanzibar, Othman Masoud Othman. La majorité des Zanzibaris voit en l’actuel président comme une personne qui a été parachutée par l’ancien président de Tanzanie, John Pombe Magufuli, sans aucune légitimité et aucune base solide dans les îles. Il est considéré comme un étranger, qui a fait toute sa carrière politique sur le continent. C’est pour cela que les Zanzibaris l’avaient surnommé le « touriste ».

En revanche, ils voient le candidat de l’opposition, Othman Masoud, qui est né et a grandi à Zanzibar comme l’un des leurs. Ce dernier a fait sa réputation après avoir pris une position ferme lors de l’assemblée constitutionnelle, en sacrifiant son poste de Procureur général de Zanzibar, pour défendre l’existence de son pays natal, Zanzibar, comme partenaire égal avec Tanganyika. Il s’est exprimé ouvertement au parlement constitutionnel, qui devait entériner une nouvelle constitution, contre les articles qui allaient porter préjudice à l’autonomie de Zanzibar et sa place au sein de l’Union de Tanzanie.

Alors que les Tanzaniens du continent voteront un seul jour, le 29 octobre, leurs compatriotes insulaires sont dans l’attente de deux jours de vote. Le premier jour est réservé aux votants spéciaux, les militaires et les agents de sureté de l’État, y compris les membres de la commission électorale de Zanzibar. Ces mêmes personnes voteront le 29 octobre aussi pour le scrutin de l’Union.

Cette initiative est vue comme une stratégie du parti au pouvoir de se livrer à des opérations de fraudes, en profitant du premier jour d’élections pour bourrer les urnes en sa faveur. Au cours des élections d’octobre 2020, les protestations contre le vote d’avance et les résultats avaient entraîné la mort de 21 personnes tout en laissant plusieurs blessés à Zanzibar. Cette année, toutes les indications montrent que le risque de violences demeure aussi très élevé. Pendant que le parti au pouvoir prône la paix, l’opposition prône la justice. Ces contradictions risquent de mener aux confrontations et le bras de fer entre le pouvoir et l’opposition.

Les deux candidats à la présidence de Zanzibar se confrontent sur deux angles différents. Le président sortant s’appuie sur son bilan et se vante d’avoir mené à bien de grands projets de développement infrastructurel, y compris la construction de nouvelles routes et écoles, ainsi que des hôpitaux et cliniques. Il affirme avoir attiré beaucoup d’investissements dans le secteur du tourisme.

L’opposition mène sa campagne sur la bannière de « Sauver Zanzibar », en se basant sur le nationalisme Zanzibari, contre la mainmise du continent et la disparition de Zanzibar sur la carte du monde. Le candidat de l’opposition fait campagne pour mobiliser tous les Zanzibaris, y compris ceux du parti au pouvoir CCM, pour défendre ensemble la place de Zanzibar dans l’Union en Tanzanie et dans le monde. Il a promis, s’il est élu, de revoir les accords de l’union avec le Tanganyika ; de lutter contre la corruption qui ronge le gouvernement actuel, dirigé par le parti au pouvoir ; de résoudre les conflits fonciers, notamment ceux liés aux terres prises et/ou vendues ou attribuées aux investisseurs étrangers au détriment des populations locales ; d’augmenter les salaires des fonctionnaires pour leur permettre d’avoir un niveau de vie digne de ce nom ; d’instaurer le salaire minimum dans les îles ; de hisser le niveau de l’éducation et de favoriser la recherche scientifique ; de mettre sur chantier de grands projets de développement infrastructurel ; de prendre toutes les mesures qui permettraient à Zanzibar de s’engager dans le chemin de la prospérité et de devenir le Singapore d’Afrique de l’Est.

Entre-temps, le pouvoir déploie ses forces dans les quartiers pour dissuader l‘opposition de s’engager dans les actions interdites. Jusqu’à présent, dans les îles, aucun incident n’a été signalé, selon le Commissaire Awadh de Zanzibar Électoral Commission. En revanche, sur le continent, il y a des craintes de désordres, surtout depuis l’intervention sur les réseaux sociaux d’un certain Colonel Tesha, qui s’est réclamé appartenir à l’armée de l’air tanzanien, et qui a appelé l’armée à prendre le contrôle du pays, sans minimiser les agitations des opposants de président et les divers militants de la cause du retour, de leur pays, Tanganyika.

Notes de bas de page :

1 – Le parti unique en Tanzanie est imposé d’abord à Zanzibar par le parti au pouvoir Afro Shirazi Party (ASP) immédiatement après la révolution en 1964. Tanganyika a suivi un an après en 1965 avec l’imposition du Tanganyika African National Union (TANU) comme seul parti ayant droit de faire la politique dans le pays. Le 5 février 1977 les deux partis ont fusionné pour former l’actuel parti au pouvoir, Chama Cha Mapinduzi (CCM).

2 – Parti pour la Démocratie et le développement

3 – Dans le système électoral actuel, si le candidat pour la présidence vient du continent, le suppléant doit venir de Zanzibar.

4 – Tanzania: Fears mount over disappearance of government critic Humphrey Polepole, Amnesty International (08 October 2025), http://www.amnesty.org ; Conflicting official claims about fate of abducted Tanzanian former Ambassador to Cuba, Humphrey Polepole, Africa Report (10 October 2025) http://www.theafricareport.com ; New Twist in Polepole ‘abduction’ case as senior police officer named in court, by James Magai & Hadija Jumanne, The Citizen (15 October 2025), http;//www.thecitizen.co.tz

5 – La contribution des centaines des millions de shillings par les riches hommes d’affaires Tanzaniens d’origine indienne pour la campagne électorale du parti a soulevé des questions et des sentiments que le parti au pouvoir n’est plus un parti des peuples mais plutôt un parti des riches.

6 – Le 6 avril 2012, le président Jakaya Kikwete a nommé l’ancien procureur général et Premier ministre Joseph Warioba président et l’ancien président de la Cour suprême Augustino Ramadhani vice-président. La commission a recueilli les avis des citoyens de différentes régions du pays et a préparé deux projets de constitution pour discussion et vote par l’Assemblée nationale constituante. L’Assemblée était divisée sur les questions fondamentales du cadre de l’Union et de l’autonomie de Zanzibar.

7 – Fils de l’ancien président Ali Hassan Mwinyi.

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