L’album NDOPVI EKA TSI NDAM de Chuky, à peine dans les bacs, fait un tabac. Les fans qui s’impatientaient se le procurent dans les différents points de vente. L’artiste s’y est beaucoup livré. Par Abdoulraouf Ibrahim
[ihc-hide-content ihc_mb_type=”block” ihc_mb_who=”2,3,4,5,6,9″ ihc_mb_template=”1″ ]Après la sortie de l’opus NDOPVI EKA TSI NDAM du rappeur CHUCKY MISTA RES, le 22 février 2019, le premier album du rappeur de Watwaniya Production se vend dans toutes les plateformes de téléchargements et cartonne.
A peine sorti, les fans fidèles à sa musique ne cessent de poster via les réseaux sociaux, des vidéos et des statuts montrant leur engouement. Il n’y a pas de doute, nombreux d’entre eux attendaient impatiemment l’album qui a été mis en ligne à 00h 30min. Mais là on parle de vente en ligne dont la plupart des auditeurs sont de la diaspora comorienne demeurant dans différents pays. C’est pourquoi nous avons décidé de jeter un coup d’œil sur le plan physique pour voir comment se fait la promotion de l’album tant attendu de CHUCKY.
Disons que cela fait une semaine et quelques jours depuis que l’album est arrivé aux Comores. Et aussitôt arrivé, Il a été mis en vente dans différents points de vente comme Sawa Prix et Nouveauté. Des fans fidèles à sa musique courent pour se procurer l’album. L’opus est accueilli par des vrais consommateurs de rap dont la plupart sont des artistes phares de la musique comorienne.
NDOPVI EKA TSI NDAM ne fait pas les millions de vente de « Phoenix » de Soprano ni de « Surnaturel » de Rohff tous des comoriens, mais il fait un carton partout. Ces fans achètent le CD et posent avec le rappeur. Des photos qu’ils postent eux aussi sur les réseaux sociaux. Il n’y pas de doute, on peut dire qu’ à domicile comme à l’extérieur, la star du rap CHUCKY MISTA RES se réjouit davantage de son travail.
Un sacré album à travers lequel le rappeur s’est beaucoup livré. CHUCKY MISTA RES, l’héritier du trône du rap de CHEIKH MC, voit s’en raciner sa carrière musicale. Lui qui a eu plusieurs occasions de s’installer en France comme tant d’autres artistes pour poursuivre sa carrière dans des bonnes conditions, se dit prêt à rester dans son pays pour veiller à ce que le rap comorien ne connaisse pas un flop. Et cela malgré les nombreux problèmes que connaisse la musique comorienne comme le piratage. [/ihc-hide-content]