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Sommet États-Unis/Afrique. USA come back

Mots clés: Edition 409Trending
5 janvier 2023
Temps de lecture : 6 mins
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Sommet États-Unis/Afrique. USA come back
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Huit ans après le premier sommet du genre, du 13 au 15 décembre 2022, les États-Unis ont convié les chefs d’États africains, ainsi que l’Union africaine à un sommet pour essayer de renouer leurs liens avec le continent et surtout y affaiblir la Chine et la Russie qui semblent installées pour un bon moment.

Par MiB

En ce premier quart du 21e siècle, on peut dire que de nouveau l’Afrique est très convoitée par les grandes puissances. Signe du déclin de l’influence des grands pays colonisateurs du 19eet 20e siècles (France et Grande-Bretagne) sur le continent. Pratiquement partout en Afrique, la Françafrique et le franc CFA sont mises en cause.

La fin de la France Afrique

Ces derniers temps les médias occidentaux ont beaucoup jasé sur l’étendue de la présence chinoise en Afrique, puis celle de la Russie. Pour cette dernière, c’est d’abord l’influence politique croissante qui avait été mise en avant avec la prévision d’un sommet en 2023. Avec la guerre en Ukraine, ce sont les actions des mercenaires de Wagner en Afrique de l’Ouest qui sont pointées du doigt. En Europe et en Amérique du Nord, les actions à visée commerciale et la coopération chinoises sont décrites comme des appâts dont les Africains ne verraient pas les finalités politiques ou militaires.

C’est dans ce contexte que le président des Etats-Unis, Joe Biden a décidé de renouer avec une initiative qui avait été prise par Barack Obama en 2014 et qui consistait à réunir tous les chefs d’État africains pour leur présenter les avantages à se tourner vers les États-Unis. Francophones ou Anglophones, les Américains ne font pas de différence et visent l’influence sur Afrique entière.

Cette fois, 49 pays africains et l’Union africaine ont été invités, sans tenir compte du régime politique ni des exactions que certains dictateurs africains font subir à leurs populations ou aux opposants.

Ainsi, même si depuis plusieurs années, et encore dans le rapport 2022 du Département d’État (pour l’année 2021), les Comores sont présentées comme un État qui a recours à la torture et qui connait un déficit de démocratie sérieux, elles ont quand même été invitées et le chef de l’État, Azali Assoumani a pu y parader avec son fils. De toute façon, si les États-Unis se mettaient à faire la fine bouche en n’invitant que les modèles de démocratie en Afrique, il est certain qu’il n’y aurait eu qu’une poignée de participants.

Une délégation politique

La plupart des pays africains ont donc constitué de fortes délégations pour se rendre aux États-Unis. Les pays les plus futés ont surtout choisi des chefs d’entreprises avec le ministre chargé du commerce pour négocier des partenariats avec des sociétés américaines ou directement avec l’État fédéral sur l’entrée de certains produits sur le marché américain.

Les Comores ont constitué une délégation plutôt politique pour accompagner le chef de l’État : le conseiller privé, Nour el Fath Azali qui a fait des études et aurait travaillé un moment aux États-Unis, le ministre des Affaires étrangères, Dhoihir Dhoulkamal, très effacé devant le fils Azali, le ministre de l’Intérieur, Fakri Mradabi qui a reçu une formation contre le terrorisme aux États-Unis, un Vice-Président de l’Assemblée de l’Union, Mohamed Ahamada Baco dont on s’interroge encore sur son rôle dans cette délégation, le Gouverneur de la Banque centrale et le Président de la Chambre de commerce. Le ministre du Commerce semble avoir été simplement oublié et les patrons négligés.

Haro sur la Chine et la Russie

Comme on pouvait s’y attendre, les responsables américains ont fustigé les présences chinoise et russe sur le continent, appelant les chefs d’État africains à s’en méfier, à voir le danger qu’ils représentent et les conséquences politiques. L’attaque n’est pas nouvelle, mais cette fois les dirigeants américains s’adressaient directement aux chefs d’État et leur demandaient implicitement de réagir.

Et pour parvenir à des résultats, cette fois, le président Biden souhaite y mettre les moyens sur la table puisqu’il a annoncé 55 milliards de dollars pour aider l’Afrique pendant trois ans. Cet argent devrait être surtout employé dans le domaine de la sécurité alimentaire, dans le soutien aux processus démocratiques et dans la coopération militaire.

Les États-Unis se sont également montrés disponibles pour discuter avec certains pays de l’élargissement de la liste des produits africains autorisés à entrer sur le marché américain. Le sommet devait d’ailleurs se poursuivre par des discussions entre des entreprises américaines et africaines, afin de renforcer les échanges et la coopération. C’est là que la présence de patrons comoriens, que ce soit dans le privé ou dans le public, aurait pu être utile pour placer des produits sur le marché américain ou pour attirer des investisseurs. Encore faudrait-il qu’il y ait des entrepreneurs intrépides pour venir investir dans un pays sans justice et où les lois ne sont pas respectées.

Le président américain a aussi proposé aux Africains d’œuvrer pour l’intégration de l’Union africaine au sein du G20, et également pour avoir un représentant de l’Afrique comme membre permanent au Conseil de sécurité de l’ONU.

Bénéfices bien maigres

La page Facebook de Beit-Salam a fait état des rencontres que la délégation comorienne a pu faire pendant son séjour aux États-Unis, en marge du sommet. Le moins que l’on puisse dire c’est que les résultats sont bien maigres.

Au total, si on en croit cette page Facebook, à l’affut de la moindre photo d’Azali Assoumani avec une personnalité pour valoriser ce déplacement, la délégation n’a rencontré que quatre personnalités : le Premier ministre marocain, le président du Kenya, la Secrétaire d’État Adjointe aux Affaires africaines, la Vice-Présidente de la Banque mondiale Région Afrique de l’Est et Australe. Le rédacteur de la page présidentielle y met tout le jargon habituel pour que les Comoriens comprennent que leur chef d’État a rencontré des personnalités très importantes dans le monde, mais cela n’empêche pas de constater qu’en réalité la délégation revient bredouille.

Même sur la question de la présidence de l’Union africaine, sur laquelle le président Azali avait affirmé que tout allait se dénouer avec le Kenya en marge de ce sommet, Beit-Salam n’annonce rien. Tout au juste, un journaliste de l’ORTC, annonce dès vendredi sur twitter que « Le Comorien Azali Assoumani succèdera au Sénégalais Macky Sall à la tête de l’Union Africaine à partir de février 2023 », sans préciser sa source (Toufé Maecha le 16 décembre 2022 sur twitter). Après cette « fuite », chacun s’attendait à une annonce officielle, mais depuis, c’est le silence radio au niveau de la présidence.

Il y avait dans la délégation le fils et conseiller privé du chef de l’État qui a été formé et qui aurait travaillé pendant un moment aux États-Unis avant de se sacrifier pour venir servir son pays. Il y avait également le ministre de l’Intérieur qui a été partiellement formé aux États-Unis. C’était l’occasion pour ces hommes de montrer qu’ils y ont tissé des liens et faire fonctionner leurs réseaux au service de leur propre pays. Rien. Nous avons plutôt eu l’impression que Nour El Fath Azali profitait de sa présence dans cette délégation pour enrichir son carnet d’adresses en supplantant le ministre des Affaires étrangères, lors des rares rencontres officielles.

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