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L’ordre politique

Mots clés: Edition 470Trending
11 mars 2024
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L’ordre politique
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Comment espérer fonder un ordre politique stable avec un homme qui est devenu le principal fauteur de troubles, à savoir Azali Assoumani ?

Par Abdourahim Bacari

Les Comores sont dans un état critique qui sollicite l’aide des plus humanistes des hommes et femmes à la tête des institutions régionales et internationales. La composition géographique de notre pays demande une véritable politique d’unité et de solidarité pour éviter une éventuelle dislocation de ce pays archipel.

L’histoire politique récente de notre pays, rappelons-le, prouve que l’unité nationale que nous ne cessons d’acclamer avec fierté repose sur une base fragile, fragilisée surtout par des pratiques et réactions politiques partisanes. Nos politiques ne voient malheureusement jamais l’intérêt collectif du peuple qui renforcerait sans aucun doute l’unité et l’intégrité territoriale de notre pays, mais ils pensent plutôt au comment « diviser pour mieux régner ».

Un point essentiel pour mieux gouverner : défendre l’intégrité de « l’autorité publique », car quand l’autorité est remise en cause, il est sûrement impossible de mieux gouverner. Dans notre pays, les promesses non tenues, la gestion de la chose publique de façon arbitraire, le détournement des deniers publics devenu monnaie courante, le non-respect des valeurs universelles, l’embrigadement des Comoriens, l’injustice sociale, la fragilisation de l’éducation nationale et le vol de la souveraineté du peuple comorien par nos gouvernants provoquent une sérieuse crise de l’autorité.

L’autorité politique n’est plus respectée pour les multiples raisons citées ci-dessus. Beaucoup de Comoriens, surtout la jeune génération, ne veulent plus entendre parler des politiques parce qu’ils ne leur font vraiment pas confiance. Les jeunes voient leur avenir gâché par leurs aînés. On leur parle d’émergence à l’horizon 2030 sans leur montre par des actes comment cela est possible. Nos dirigeants politiques ne pensent qu’à leurs enfants respectifs, en oubliant tous les enfants comoriens. Puisque leurs enfants font leurs études soit dans les meilleures écoles privées du pays soit à l’étranger, ils se permettent d’oublier volontairement les enfants des parents pauvres de la nation qui font l’école publique. Ils oublient qu’il est quasiment impossible de parler d’émergence sans vraiment faire émerger le savoir scientifique et le savoir-faire technologique de nos enfants.

L’ordre politique et public repose tout d’abord sur une autorité politique reconnue sans équivoque par les administrés. Pourtant aujourd’hui, il est bien clair, car visible que l’autorité d’Azali Assoumani est quasiment inexistante. Depuis le 24 mars 2019, les Comoriens l’ont vomi. Ils lui montrent aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur des Comores qu’il n’est pas leur président, parce qu’il a volé leur souveraineté pour rester illégalement président de leur pays. Avant les élections du 14 janvier 2024, les Comoriens ont montré qu’il n’était pas populaire, et même le plus impopulaire des présidents que les Comores ont connus depuis leur indépendance. Mais, putschiste qu’il est, il a, comme à son habitude, jeté la démocratie et ses valeurs par terre, dans le seul but de continuer à présider illégalement les Comores.

Avec ses collaborateurs, ils se croient gagnants. Ils pensent que le silence des Comoriens est synonyme d’acceptation de leurs fraudes et de leurs méthodes dictatoriales. Ils marchent sur de l’or aujourd’hui. Mais cela ne durera pas toujours. Parce qu’aucune autorité ne l’a jamais emporté sur la colère insatiable du peuple. Azali Assoumani et les siens doivent très rapidement prendre conscience de leur échec qui les pousse à commettre des actes irréparables, et cela avant que le peuple comorien ne prenne conscience qu’il doit comme un seul homme se soulever contre eux pour l’ordre public et le retour à l’ordre constitutionnel perdu depuis 2018 à la suite d’un référendum approuvant un changement constitutionnel, là aussi par la fraude.

Il n’est jamais trop tard pour mieux faire. Au lieu de continuer à faire du mal aux Comoriens, Azali Assoumani et ses collaborateurs doivent au contraire penser à l’avenir de nos enfants en mettant en place un moyen d’échanger, en dehors de toute démagogie, avec l’opposition. La paix dans notre pays est plus importante que tout avantage particulier. La situation politique inaugurée par Azali en 2018, renforcée en 2019 et en 2024 place sans aucun doute notre pays au bord de l’explosion.

En réalité, la violation des accords-cadres de Fomboni de 2001 pour changer arbitrairement la Constitution pour une nouvelle constitution sur mesure du Colonel Azali Assoumani marque le début d’une séparation totale de nos trois îles restantes qui forment la République comorienne.

C’est la raison pour laquelle, les Comores ont besoin d’aide pour la sauvegarde de l’unité et l’intégrité de leur territoire. Il est donc temps pour tous les partis de l’opposition d’unir leurs forces pour sortir le pays de cette impasse qui risque de créer le chaos total. Aujourd’hui, pour être plus clair, le problème de notre pays c’est Azali Assoumani et celles et ceux qui le soutiennent à tout prix pour leur gagne-pain. Notre pays ne mérite pas le désordre, tel que le séparatisme ou la guerre civile qui n’auront d’autres conséquences que la mort, l’accroissement de la pauvreté et la famine. Il ne faut surtout pas croire que le malheur n’arrive qu’aux autres. Tout peut nous arriver si nous continuons de jouer avec le danger. Nous avons un pays de paix, ensemble, donnons le meilleur de nous pour la préserver.

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