• Web TV
  • Article Premium
  • Nos tarifs
mercredi 8 février 2023
  • Se connecter
  • S'enregistrer
Aucun résultat
Voir tous les résultats
MasiwaKomor
  • Accueil
  • Politique
    Quand Azali foule aux pieds les droits de l’homme

    Parlons franc !

    Comores. Toujours parmi les pays les plus corrompus

    Comores. Toujours parmi les pays les plus corrompus

    Alwatwan. Partisans contre partisans

    Alwatwan. Partisans contre partisans

    Trending Tags

    • A la une
    • Premium
  • Economie
    Inflation : 18,2%

    Inflation : 18,2%

    La guerre du riz a eu lieu

    La guerre du riz a eu lieu

    Crise des entreprises publiques

    Crise des entreprises publiques

    Rapport de la Banque centrale des Comores 2021. Encore un coup de « Com » pour le gouvernement

    Rapport de la Banque centrale des Comores 2021. Encore un coup de « Com » pour le gouvernement

  • Education
  • Société
  • Opinion
  • Sport
  • Transport
  • Culture
  • Santé
  • Réligion
  • Accueil
  • Politique
    Quand Azali foule aux pieds les droits de l’homme

    Parlons franc !

    Comores. Toujours parmi les pays les plus corrompus

    Comores. Toujours parmi les pays les plus corrompus

    Alwatwan. Partisans contre partisans

    Alwatwan. Partisans contre partisans

    Trending Tags

    • A la une
    • Premium
  • Economie
    Inflation : 18,2%

    Inflation : 18,2%

    La guerre du riz a eu lieu

    La guerre du riz a eu lieu

    Crise des entreprises publiques

    Crise des entreprises publiques

    Rapport de la Banque centrale des Comores 2021. Encore un coup de « Com » pour le gouvernement

    Rapport de la Banque centrale des Comores 2021. Encore un coup de « Com » pour le gouvernement

  • Education
  • Société
  • Opinion
  • Sport
  • Transport
  • Culture
  • Santé
  • Réligion
Aucun résultat
Voir tous les résultats
MasiwaKomor
Aucun résultat
Voir tous les résultats

Parlons franc !

6 février 2023

Abdillah Saandi Kemba : « Ce qui me gêne, c’est l’amateurisme de certains responsables du syndicat des journalistes »

6 février 2023

Bonheur ou imbécilité collective ?

6 février 2023

Comores. Toujours parmi les pays les plus corrompus

6 février 2023

Alwatwan. Partisans contre partisans

30 janvier 2023

Azali–Sambi, frères ennemis

16 août 2019
Temps de lecture : 4 mins
0 0
A A
Azali–Sambi, frères ennemis
0
PARTAGES
0
LECTURES
Share on FacebookShare on Twitter

Les relations entre Sambi et Azali s’expliquent par leur histoire commune faite de rejet, d’accord et de vengeance depuis 2006. Par Faissoili Abdou

[ihc-hide-content ihc_mb_type=”show” ihc_mb_who=”2,3,4,5,6,9″ ihc_mb_template=”1″ ]

L’histoire de Sambi et Azali, c’est d’abord des images, des symboles. Au tout début, il y a  la cérémonie d’investiture du président Ahmed Abdallah Sambi, le 26 mai 2006, lors de laquelle son prédécesseur Azali Assoumani a été copieusement hué par la foule. Une humiliation qui semble avoir marqué à jamais  ce militaire. Ensuite, une fois à Beit-Salam le Président Sambi décide d’engager des poursuites judiciaires à l’encontre de certains caciques du régime précédent soupçonnés de malversations. Certains feront de la prison. La Convention pour le Renouveau des Comores (CRC) sera de ce fait le premier parti d’opposition au régime Sambi (2006-2011), bien que son chef, Azali Assoumani reste discret pendant toute la présidence Sambi.

En 2016, on pensait que les deux hommes s’étaient réconciliés à partir de l’accord de Missiri entre les candidats Juwa et Azali, puis la rencontre entre le candidat Azali et Sambi au domicile de ce dernier à Voidjou. Là même où l’homme en turban vert est enfermé depuis plus d’un. On se remémore encore des images entre les deux hommes, tout souriants, assis côte à côte dans la cour de l’appartement de Voidjou. C’est après cette rencontre avec le candidat d’alors Azali Assoumani que le leader du parti Juwa officialisera son soutien à la candidature du chef de la CRC. « Au nom de l’intérêt supérieur de la Nation », tiendra à préciser Sambi.

Le divorce : « J’aurai besoin de lui encore un an tout au plus »

Leur attelage ne va pas résister à l’épreuve du pouvoir. Un an après, les premiers couacs ont surgi et le divorce suit. En juin 2017, alors que le gouvernement comorien a décidé de rompre les relations diplomatiques entre les Comores et le Qatar « en solidarité avec l’Arabie Saoudite », l’ancien président poste une vidéo sur les réseaux sociaux pour regretter ce choix du gouvernement. Une prise de position qui n’a pas plus à Beit-salam. Un prétexte tout trouvé.  Le divorce est prononcé. Il sera immédiat. Sans frais.

Dans son discours à la Nation le 6 juillet 2017, Azali Assoumani déclare : « Je regrette profondément l’attitude et les déclarations de mon prédécesseur l’ancien Président, d’un parti allié, membre de la coalition gouvernementale. La méthode et la manière choisie pour faire ses dernières déclarations ne m’ont pas paru indiquées. Je respecte toutefois son choix et j’en prends acte, comme j’ai bien saisi son message. Il m’appartient d’en tirer les conséquences ». Une véritable déclaration de guerre qui sera suivie d’effets immédiats.Le président a toujours raison même quand il a tort.Dans la foulée, les ministres Juwa au sein du gouvernement seront débarqués sans ménagement. « J’aurai besoin de lui encore un an tout au plus. On presse l’orange et on jette l’écorce », disait Voltaire à Madame Denis, lettre du 2 septembre 1751, en rapportant les propos de Frédéric de Prusse à son sujet. Le président Azali n’en dirait pas moins sur Sambi.

Le prétexte du rapport parlementaire

C’est à partir de cette opposition publique à la rupture diplomatique entre les Comores et le Qatar que vont débuter les ennuis de l’ancien président.La campagne pour le référendum qui suivra ressemblera à s’y méprendre à une véritable campagne de dénigrement de l’ancien Raïs. Les différents orateurs au meeting du gouvernement se lâchent sans réserve pour enfoncer cet ennemi à abattre. Azali ne cache pas les sentiments que lui inspire l’homme au turban vert dont il ne supporte plus la popularité. À l’assemblée où siège la commission d’enquête parlementaire sur le dossier de la citoyenneté économique tout s’accélère. Le document final qui n’aurait pas suivi les procédures normales fuite sur les réseaux sociaux. En plus de la mauvaise gestion des fonds de la citoyenneté économique, le rapport parlementaire accuse l’ancien président Sambi d’avoir touché un pot-de-vinastronomique pour faire adopter la loi sur la citoyenneté économique.

Résidence surveillée avant la prison

La bombe est lâchée. Très rapidement, et malgré l’opposition d’une partie de la commission d’enquête parlementaire, le président de l’Assemblée accompagné de l’autre partie de la commission remettra le document au Chef de l’État qui a promis de donner une suite à ce dossier. La justice se met en branle. Pendant ce temps, Sambi qui se trouve à l’étranger se débat sur les réseaux sociaux pour nier les allégations de la commission d’enquête parlementaire à son sujet. Ces partisans investissent les mosquées pour lire un hitma… Lorsqu’il rentre au pays, le gouvernement qui semblait craindre des troubles lors de l’arrestation du populaire leader du Juwa décide de mettre en route son plan. L’ex-président sera mis en résidence surveillée pendant trois mois le temps de jauger la réaction de ses partisans. Sans réaction de ses derniers, le gouvernement passe à la vitesse supérieure. C’est à la fin de cette période de mise en résidence surveillée que la justice en profite pour le coincer sans lui donner la chance de sortir des quatre murs pour respirer.

Il totalise aujourd’hui 15 mois dans sa prison de Voidjou, sans compagnie et isolé du monde. Il n’est donc pas étonnant que sa santé se dégrade sous l’effet de l’isolement et du stress.

[/ihc-hide-content]

 

 

Articles populaires

  • Abdillah Saandi Kemba : « Ce qui me gêne, c’est l’amateurisme de certains responsables du syndicat des journalistes »

    Abdillah Saandi Kemba : « Ce qui me gêne, c’est l’amateurisme de certains responsables du syndicat des journalistes »

    0 partages
    Partage 0 Tweet 0
  • Alwatwan. Partisans contre partisans

    0 partages
    Partage 0 Tweet 0
  • Comores. Toujours parmi les pays les plus corrompus

    0 partages
    Partage 0 Tweet 0
  • Bonheur ou imbécilité collective ?

    0 partages
    Partage 0 Tweet 0
  • Zainou Ahamada, Comment le gouvernement retourne les militants pour la démocratie et écoute les opposants ?

    0 partages
    Partage 0 Tweet 0
Article suivant
Les raisons de l’arrestation et du maintien de Sambi en prison

Les raisons de l’arrestation et du maintien de Sambi en prison

Nous contacter

MORONI GOBADJOU

Email: contact@masiwakomor.com
Site Web: masiwakomor.com

Categories

  • Culture
  • Economie
  • Education
  • Histoire
  • Journal
  • Justice
  • Non classé
  • Opinion
  • Politique
  • Réligion
  • Santé
  • Société
  • Sport
  • Transport

Masiwa N°416

Masiwa N°415

Masiwa N°414

Masiwa N°413

Masiwa N°412

Masiwa N°411

  • Masiwa Komori
  • Publicité
  • Nous contacter

© 2022 Masiwa Komori © Design by Tranokala

Aucun résultat
Voir tous les résultats
  • Accueil
  • Politique
  • Economie
  • Education
  • Société
  • Opinion
  • Sport
  • Transport
  • Culture
  • Santé
  • Réligion

© 2022 Masiwa Komori © Design by Tranokala

Bienvenue !

Connectez-vous à votre compte ci-dessous

Mot de passe oublié ? S'inscrire

Créer un nouveau compte !

Remplissez les formulaires pour vous inscrire

Tous les champs sont obligatoires. Se connecter

Récupérer votre mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre adresse électronique pour réinitialiser votre mot de passe.

Se connecter
Are you sure want to unlock this post?
Unlock left : 0
Are you sure want to cancel subscription?