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Tortures au camp militaire de Simboussa. Le chef d’état-major et la CNDHL réagissent

21 janvier 2020
Temps de lecture : 3 mins
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Tortures au camp militaire de Simboussa. Le chef d’état-major et la CNDHL réagissent
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L’interdiction des mauvais traitements et de la torture des prisonniers est un des piliers du droit international humanitaire et de la Charte des droits de l’homme. Une Déclaration de l’ONU contre la torture (1975) et une Convention internationale contre la torture (1987) encadrent la lutte à ce fléau. Par HACHIM  MOHAMED

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Le communiqué du Colonel Youssouf IDJIHADI au sujet des tortures subies par un citoyen dans la caserne de SIMBOUSSA et l’émotion qui en a suivi n’a pas convaincu grand monde si on s’en réfère aux réactions négatives dans les réseaux sociaux. De même pour la conférence de presse de la Commission nationale des Droits de l’Homme (CNDHL).

De quel attachement strict aux libertés individuelles et de droits de l’ homme  parle le Chef d’état-major de l’Armée nationale de Développement (AND) ? La pratique de la torture se généralise-t-elle en Union des Comores en raison de l’impunité qui règne ?

Incontestablement, l’image de l’Union de Comores est écornée depuis la publication de ces images qui montrent des actes de torture perpétrés sur ce villageois qui s’ est vu en loque humaine via son buste nu… son pantalon crapoteux.

En visionnant la vidéo où la victime est régulièrement acculée, mise en état d’infériorité, soumise à des manœuvres hostiles avec le sentiment d’être transbahuté dans des conditions dégradantes,  tout  comme en écoutant en conférence de presse   le récit des évènements de la bouche de la Présidente de la CNDHL, Sittou Raghdat Mohamed, les Comoriens semblent perdus.

Sous d’autres cieux,  le  scandale de ce traitement cruel,  inhumain et dégradant,  les  principaux responsables auraient du mal à conserver leurs postes.

Voilà un pays où de plus en plus la torture est pratiquée.

Tout a commencé quand un quidam muni d’arrache-clou   avait tenté d’ empêcher   la réunion de sensibilisation sur le SIDA à Nkurani ya Mkanga. Le chef du village, qui a assisté à l’ évènement, a saisi l’armée (FCD) ayant tenté en vain de joindre la gendarmerie. L’armée est arrivée et a embarqué ceux qu’on lui a désignés comme des coupables.

Outre le jeune villageois que l’on voit sur la vidéo subir une multitude de gestes dégradants à la caserne de Simboussa, sa mère a subi des  « tortures morales  »  qui   ont   provoqué des mensurations avant l’heure et elle s’est blessée aux genoux ayant été balancée par   terre au moment de son interpellation.

Autre situation ubuesque dans cette affaire,  c’est  quand l’adjudant-chef Soulaimana   a martelé devant les membres de CNDHL qu’ il ignorait ce que signifie « Torture ». Comment   les militaires impliqués dans la violence peuvent agir isolement et de leur propre chef en   s’appuyant sur de tels propos ?

Dans une démocratie, ce comportement aurait conduit l’adjudant-chef Soulaimana devant un juge pour sévices et tortures commis dans des lieux gérés par l’armée sous son commandement.

D’autres cas tout aussi graves, si ce n’est plus grave ont eu lieu ces derniers temps aux Comores. L’affaire de Hamada Gazon qui est tombé sous une balle tirée par un militaire en décembre en 2018 à Iconi est encore dans les mémoires.

Personne n’a oublié ce qui était arrivé à 29 personnes à qui les  gendarmes ont fait subir  des tortures atroces samedi 20  2019 janvier à  la caserne de M’dé parce qu’ ils n’avaient de  carte  d’identité sur eux, ni qu’un gendarme a tiré à bout portant sur un élève lors de manifestations au lycée de Moroni, en février 2017.

La loi du silence autour des pratiques dégradantes règne. Pourtant,aucune circonstance exceptionnelle ne peut être invoquée pour justifier la torture. Les responsables de ces actes de tortures et de traitements inhumains et dégradants devraient rendre des comptes devant les tribunaux.

 

 

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