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Mzimba «je ne reconnaîtrai pas Azali ou autre candidat président sans la transparence»

19 mars 2019
Temps de lecture : 5 mins
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Mzimba «je ne reconnaîtrai pas Azali ou autre candidat président sans la transparence»
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Même si il abhorre la nouvelle constitution qu’il qualifie d’«infâme» Ibrahim Ali Mzimba n’est pas de ceux qui prônent pour 2021 à Anjouan. Son projet tourne autour de quatre point : les accords de Fomboni, l’économie moderne, la jeunesse, et la mise en valeur des îles. Propos recueillis par Ali Mbaé

Masiwa: Pourquoi êtes-vous candidat aux élections présidentielles?
Ibrahim ALI Mzimba: Je suis candidat pour plusieurs raisons. D’abord je voudrai porter ma petite pierre pour le développement de notre pays, mais surtout parce que l’état de droit est menacé. Je suis candidat parce que les libertés publiques et les libertés fondamentales essentielles à notre temps sont quasiment aujourd’hui inexistantes. Et si ces libertés, l’état de droit et la justice sont menacés c’est tout le monde qui est menacé. L’économie, les individus et l’équilibre même de notre pays sont tous menacés. Donc ma première motivation est de rétablir l’ordre de droit, l’ordre constitutionnel et l’ordre judiciaire.

Masiwa: La jeunesse que vous interpellez dans vos discours, quelle place vous l’accordez-vous dans votre programme?
I.A.M: Je parle de la jeunesse dans ce qu’on appelle les catégories sociales de notre pays et je parle aussi des enseignants. Pourquoi? Au-delà des problèmes globaux qui touchent notre pays, la jeunesse est la plus fragile. Et si nous regardons, notre pays est un des rares pays au monde qui n’a rien structuré pour la jeunesse.

Il y a des secteurs qui sont essentiels pour eux. Le secteur éducatif pour les enfants scolarisés, le secteur de la musique pour ceux qui ont envie de jouer de la musique et le secteur du sport.

Et quand tu regardes ces secteurs sont mal encadrés, le sport quasiment abandonné mais grâce à nos frères de l’extérieur, qui sont en France comme ceux qui s’occupent des cœlacanthe, eux montrent l’exemple et essaient de faire quelque chose pour la jeunesse.
La musique c’est tout autant en haut. On constate que les Comores recèlent une réelle force créatrice, une imagination dans le sport et dans la musique. Il suffit de regarder un petit peu l’impact des comoriens qui sont à l’étranger que ce soit dans les domaine du sport ou dans la musique, il y a de quoi à faire pour le rayonnement de notre pays.
Vous comprenez bien qu’aujourd’hui on ne fait plus rayonner seulement les nations grâce à l’économie. D’ailleurs ces deux domaines font partie non seulement de la culture mais aussi de l’économie. La véritable guerre moderne sont les émigrations culturelles et sportives . Voilà pourquoi je tiens absolument à ce que la jeunesse ait une place. Ce n’est pas une jeunesse comme on a la tendance à dire, celle démagogique, ce n’est pas la jeunesse parce qu’on a envie d’avoir quelques voix. Je crois que soutenir la jeunesse fait participer à l’économie nationale, au rayonnement de notre pays et on le voit très bien le Brésil, l’Allemagne et d’autres pays d’Afrique. Les autres pays voisins nous envient parce que nous recevons plus de savants, de créateurs en musique et en sport. Il faudrait qu’on affecte une bonne partie d’argent pour encadrer la jeunesse.

Masiwa: Quelles sont les autres priorités de votre programme en général?
I.A.M: j’ai quatre priorités. Mais celle qui est imminente est les accords de Fomboni. Ils constituent un vrai équilibre dans le bon fonctionnement des institutions comoriennes. Ils avaient mis en confiance la population comorienne, en respect mutuel. Même si un jour on doit toucher la tournante mais pas comme on l’a fait brutalement comme ça. Il faut les rétablir intégralement avec son corollaire la tournante et bien attendu l’autonomie des îles. Cela doit se réaliser immédiatement dans les six premier mois maximum, on doit se retrouver en équilibre. Si cette constitution bâtarde, infâme et néfaste continue à exister au-delà de mois, il y a un risque de s’accommoder de fonctionnement, elle doit disparaître immédiatement. L’économie moderne est ma deuxième priorité. Notre pays est le seul que les individus n’ont pas droit de s’enrichir.

Il est inadmissible que seul l’État, le président et ses ministres ont le droit de commercialiser le riz que tout le monde mange dans ce pays.

Il faut casser le monopole du riz, du pétrole de toutes ses formes. Si dans les pays voisins il y a des riches c’est parce qu’il y a une ouverture de l’économie. Il faut diversifier les produits à travers une concurrence.La mise en valeur de nos îles est aussi importante. Nous avons un pays magnifique. Regarder Moheli, une île qui recèle énormément de richesse. Cette île pourrait être le vecteur du développement touristique de notre pays. Je compte faire de Moheli la grande capitale touristique des Comores car elle a tout ce que envient les touristes du monde, faire d’ Anjouan une réelle capitale économique des îles parce qu’elle a tous les ingrédients qui permettent un pays de s’enrichir, il y a une forte réelle main d’œuvre et des commerçants négociateurs très dynamiques. La grande Comores sera la capitale politique et administrative parce qu’elle a la vocation, elle est la mieux outillée. Elle sera notre ambassadeur. Cela peut nous aider à constituer un État nation qui aura comme objectif de permettre à tous les citoyens à être mobiles. Je refuse le centralisme politique et économique car tout pays centralisateur est un pays qui fait appel à un éclatement.

Masiwa: Votre programme exige beaucoup de temps, les deux ans suffiront-ils?
I.A.M: Vous n’avez pas compris. Je n’ai jamais dit que je vais gouverner deux ans. j’ai dit la reforme de la remise en ordre, de chasser la nouvelle constitution ne demande pas deux années parce que c’est un referendum qu’on doit immédiatement organiser. Deux ans c’est très long pour vivre avec cette constitution. Cette dernière est ridicule, infâme et dangereuse et elle doit disparaître automatiquement après les présidentielles.

Masiwa: Que faites-vous pour que les prochaines élections soient transparentes et crédibles?
I.A.M: C’est un souci que j’ai après avoir pris la décision de me porter candidat. J’ai été personnellement reçu par les services politiques de l’ambassade des État-unis à Paris. Après notre entretien, les américains ont sorti une déclaration commune avec l’Union européenne pour montrer la nécessité d’une élection libre et transparente aux Comores. On apprend aujourd’hui avec regret que les pouvoirs publics refusent la transparence. D’un côté, ils disent qu’ils passeront dès le premier tour, de l’autre ils refusent la vraie transparence. Moi je ne reconnaîtrai pas Azali ou un autre président sans la transparence.

Je m’opposerai systématiquement à son élection, si les conditions de fond et de forme qui cadrent démocratiquement une élection ne sont pas respectées.

Si le président-candidat Azali comme tous ceux qui gouvernent notre pays dans cette période ne respectent pas le code électoral, je ne le reconnaîtrai pas. Je souhaite que le président élu ne sera pas contesté qu’il ait l’occasion et le pouvoir nécessaire à mettre notre pays sur la bonne voie du développement.

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