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La numérisation des inscriptions à l’université des Comores

Mots clés: Edition 443Trending
28 août 2023
Temps de lecture : 4 mins
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La numérisation des inscriptions à l’université des Comores
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Cette année l’Université des Comores (UDC) a décidé de lancer l’inscription par internet, sans formation, sans explication et sans mise en place de bornes sur lesquels les étudiants pourraient effectuer cette démarche. Des étudiants provenant des trois îles où sont installées des structures de l’Université des Comores se plaignent de cette nouvelle procédure. Certains préfèreraient même revenir à l’ancienne procédure.

Par Abdouroihmane Ibrahim

Autrefois, pour s’inscrire à l’université des Comores, on devait se rendre à l’administration qui se situe à Mapvinguni pour ce qui est de la Grande-Comore, à Patsy pour Anjouan ou à l’université de Mohéli. Cela a changé. L’inscription est devenue numérique. L’élève doit accéder au site web de son centre universitaire, muni de tous les documents certifiés, scannés et réunis dans un seul fichier au format PDF. Une méthode jugée facile par l’administration dans la mesure où elle évite le déplacement et le grand nombre d’étudiants qui se rassemblent en ces lieux pour s’inscrire comme cela se passait auparavant.

Toutefois, certains étudiants se plaignent quant aux complications qu’ils ont rencontrées pour s’inscrire en ligne.

Des étudiants non préparés.

Bien que cette nouvelle procédure devrait faciliter les démarches des étudiants pour s’inscrire à l’université, ces derniers estiment qu’on aurait dû leur proposer de suivre une formation sur l’application bien avant. Certains d’entre eux ne se sont pas encore inscrits parce qu’ils ignorent comment s’y pendre. D’une manière exhaustive, ils ne sont pas préparés. Ces démarches leur sont étrangères et ils préfèrent l’inscription à l’ancienne.

À Mohéli, les étudiants vont dans des cybers en espérant trouver un professionnel qu’ils pourraient engager pour faire le travail. Ceux qui n’ont pas les moyens de le faire, dans la mesure où, ils doivent d’emblée scanner tous leurs documents avant de les déposer, ce qui coûte cher.

Une étudiante de première année à Mohéli témoigne. « Vous amenez tous vos documents à la direction régionale. C’est là où on certifie les dossiers : 1500FC la certification. Et une fois les documents certifiés, vous partez trouver une personne compétente que vous allez ramener dans un cyber où vous scannerez vos dossiers certifiés. Puis cette personne va les déposer dans le site de préinscription. »

À Ngazidja comme à Ndzouani, des étudiants recommandent vivement l’ancienne méthode dans la mesure où, elle leur facilitait vraiment la tâche. Bien que la nouvelle méthode leur épargne le déplacement, ils considèrent qu’aller sur place leur permettait de s’inscrire sans difficulté.

 « C’est très compliqué. Il y a des étudiants quand nous parlons de scanner les dossiers, ils ne savent même pas de quoi nous leur parlons. Ensuite, lorsque nous commettons une erreur de remplissage, nous ne savons pas vers qui nous tourner pour régler cela. Pour l’inscription au baccalauréat, il y avait les responsables des établissements scolaires qui étaient prêts à nous épauler et à nous guider. Cette fois, nous sommes livrés à nous-mêmes », explique Fakridine Said Radjab, un étudiant qui postule pour la première année.

Le moyen de payement constitue une autre raison du mécontentement de certains étudiants. Ils doivent aller à la Banque de Développement des Comores (BDC) pour ouvrir un compte HOLO, se trouver un point de recharge et faire le dépôt d’argent. Mais, revenus à la maison, ils se rendent compte que le système leur refuse le payement pour défaut de validation du compte. Cela les oblige à retourner à la BDC pour que le compte soit validé par les mêmes personnes qui l’ont créé. Les étudiants regrettent donc le payement via SNPCF comme ceux qui les ont précédés, même si cela leur prenait toute une journée.

D’autres étudiants trouvent des privilèges dans ce nouveau système et demandent aux étudiants de faire preuve de discernement afin de bien intégrer les choses. « Je crois que c’est un bon système. C’est mieux que l’ancienne méthode. Aujourd’hui vous mettez tout sur le site et vous vous inscrivez facilement. À notre première année, il fallait aller à Mapvinguni où nous pouvions passer toute la journée pour nous inscrire », dit Soukaynata, une licenciée en Lettres modernes françaises.

Un problème de connexion internet.

Le dernier motif de mécontentement est la connexion internet qui est souvent de mauvaise qualité, quel que soit l’opérateur, surtout dans les régions reculées. Et aujourd’hui, des étudiants affirment ne pas pouvoir s’inscrire en dénonçant la mauvaise qualité du réseau internet. Certains d’entre eux se déplacent jusqu’à la capitale, là où la connexion est moins difficile pour poursuivre leurs démarches.

« C’est un truc de fou, car déjà on n’est pas dans un pays qui dispose d’une bonne connexion internet, mais il y a toujours des intempéries. Au moins avec l’ancienne méthode, on serait sûr de pouvoir s’inscrire à temps. », ajoute Chaïnour Mohamed

Des étudiants affirment qu’en voulant ouvrir le site, ils mettent plus de 10 minutes avant qu’il ne daigne s’ouvrir. Peut-être que c’était le site qui avait un problème, mais la connexion internet aussi a contribué à ce désagrément.

« Comment espérer pouvoir envoyer des fichiers au format PDF quand la lenteur de la connexion internet persiste ? », s’interroge un jeune étudiant de Ngazidja.

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