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Le journalisme, les journalistes et le pouvoir

Mots clés: Edition 446Trending
18 septembre 2023
Temps de lecture : 3 mins
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Aboubacar Said Salim. Un homme simple
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Partout dans le monde, la communication instaure de l’ordre. Elle réveille aussi les bas instincts humains et aboutit à l’insurrection et à l’innovation. Ces six dernières années, les Comores comptent une grande quantité de journalistes, de tous les statuts possibles. Certains ont obtenu des formations dans des écoles étrangères et ne peuvent compter que sur leur expérience dans le domaine. Ces derniers s’autoproclament, avec fierté, des autodidactes ayant appris le métier sur le terrain. Il existe une autre catégorie de journalistes : les journalistes de fortune, le journaliste Smartphone.

Par Said Yassine Said Ahmed, Auvergne-Rhône-Apes

Le constat est décevant, la situation alarmante. La mission est largement moins bien remplie. Certains hommes ou femmes des médias, qui devraient jouer un rôle prépondérant, ont abdiqué, démissionné. Et nombreux, sont ceux qui sont devenus adeptes du faux semblant. Un recul pour le journalisme comorien qui n’a pas de nom, mais qui s’explique. Peut-on parler de manque de conviction ou d’éther de circonstance ?

« La voix du pouvoir »x

Dans tous les ministères, il y a des attachés de presse. Ils sont sensés rendre plus visibles, plus claires, plus efficaces et faire savoir les tâches de ces départements aux citoyens : des rapports, des démentis, des expositions des faits, des constats… en sommes, informer le peuple. Mais est-ce que ce devoir s’accomplit ? Seuls le journal Al-watwan et la télévision nationale (ORTC), quasiment transformés en entreprises privées par le clan au pouvoir, répondent bien à leurs cahiers de charges. Ceux établis par les théoriciens du journalisme d’État : des professionnels de l’info réduits à une seule voix, la voix du pouvoir. Avec ces Établissements ayant l’image d’un centre d’hébergement où crèchent certains dociles, les médias des pouvoirs sont presque inutiles pour les citoyens comoriens. Seules les informations tenues par les troubadours du pouvoir et qui font plaisir au chef et aux familles… ont accès aux colonnes ou aux plateaux.

« La foi au métier »

Sans doute la passion est une bonne chose. Surtout quand on l’a dans le bon sens. Des nombreux Comoriens, notamment des jeunes se sont lancés dans la profession de journalisme. Mais hélas ! Il perd sa noblesse. Et le comble est que ce sont les tuteurs de ce métier qui l’ont rendu ignominieux.

Aux Comores les réseaux sociaux restent le seul canal de propagande. Les nouveaux arrivants dans la profession en l’ont transformé en moyen de matraquage, de charité et d’autres y trouvent leur Nestlé. Certains responsables politiques du pays, notamment ceux qui sont aux manettes (des ministres et des directeurs), au lieu de privilégier les chaines dites officielles, les chaines prétendues insulaires et nationales, ils préfèrent s’exprimer dans les réseaux sociaux, donc sur des pages Facebook et Youtub personnels. Ils font le choix de passer par les voies les plus faciles pour faire passer leurs idées. Et cela n’honore pas ce métier.

Le traitement que subit le journalisme en a fait un outil de bataille, le fer de lance des pouvoirs contre les oppositions, mais aussi, un canal de subsistance pour les journalistes de fortune.

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