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La fraude de la CENI à la Cour Suprême

Mots clés: Edition 466Trending
13 février 2024
Temps de lecture : 2 mins
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Quand Azali foule aux pieds les droits de l’homme
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Les fraudes électorales que le peuple comorien a connues le 24 mars 2019 nous apparaissent à présent minimes face à celles du 14 janvier 2024. Azali Assoumani est passé grand maître. Lui et les membres de son gouvernement ont montré combien ils méprisent aussi bien les Comoriens que les pays amis et institutions internationales solidement attachés aux valeurs universelles. Cette fois-ci, la fraude s’était logée à la CNI et à la Cour Suprême.
Nous venons d’avoir la confirmation par l’un des membres de la CNI, Me Gérard Youssouf qui, sans crainte aucune, livre sa version des faits sans ambages sur les procédures et techniques mafieuses visiblement employées par Azali Assoumani et les siens pour garder illégalement le pouvoir. Le candidat gouverneur du pouvoir, indiqué comme gagnant à Anjouan, a confirmé que l’armée a collaboré avec le régime en place pour obtenir ces résultats plus contestés que jamais.
La maxime qui nous dit que « bien mal acquis ne profite jamais » trouve son équivalence en politique, car il est aussi vrai qu’un pouvoir acquis par la fraude ne profite jamais longtemps, surtout qu’il condamne son auteur dans une illégitimité sans fin. Rappelons-le, cinq ans après les mascarades électorales de mars 2019, Azali Assoumani a utilisé beaucoup de moyens pour gagner les cœurs des Comoriens pour se rendre légitime sans jamais y parvenir. Les Comoriens de l’intérieur et la diaspora comorienne l’ont, comme un seul homme, vomi. Ils ne veulent absolument pas entendre parler de lui. Ils lui demandent tout simplement une seule chose : la souveraineté qu’il leur a volée.
Les pays amis des Comores, surtout la France qui est la première partenaire des Comores dans tous les domaines, savent pertinemment qu’il est vraiment difficile pour Azali et les siens de gagner une légitimité auprès des Comoriens. Il a humilié les notables qui voulaient parler de paix au moment où le pays était à feu deux jours après la proclamation provisoire des résultats frauduleux par la CNI. Dès lors une guerre de chat et de souris est engagée entre lui et les gardiens de la tradition comorienne qui sont naturellement des hommes de paix.
Le régime en place sait indubitablement qu’il est impopulaire. Ceux qui le soutiennent savent aussi qu’ils ne puisent pas leur force dans la démocratie, mais plutôt dans l’armée qui décide de collaborer avec un homme qui maltraite, torture, condamne de façon arbitraire et qui tue toute personne qui affiche une opposition à ses pratiques antidémocratiques. Les vidéos, les messages vocaux, les photographies prises pour démasquer les fraudes à ciel ouvert de ce régime dépassent notre entendement.
Azali et les siens savent qu’ils n’ont pas gagné les élections du 14 janvier2024. Ils savent également que le monde entier est au courant, mais comme ils sont amnésiques, ils attendent impatiemment les félicitations des pays amis et institutions internationales, surtout de l’Union européenne et de notre partenaire historique, la France. Les Comoriens voient mal comment la France des Droits de l’Homme peut féliciter un homme qui foule aux pieds la démocratie au vu et au su du monde entier.
Abdourahim Bacari

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