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Sitty Saidat Youssouf : La couture est une passion

14 septembre 2019
Temps de lecture : 4 mins
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Sitty Saidat Youssouf : La couture est une passion
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En faisant honneur aux valeurs socio-cultuelles de son pays, Sitty Saidat Youssouf décide de mettre fin à sa carrière de mannequin pour faire place à la création de vêtements traditionnels. Pour elle, ce métier de styliste est plutôt une passion, une façon de contribuer au développement de l’Art et de la culture comorienne. Masiwa s’est approchée d’elle pour connaître ses objectifs et ses motivations. Propos recueillis par Ramzy Said Kamal

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Masiwa – Sitty Saidat Youssouf, qui êtes-vous ?

Sitty Saidat Youssouf (SSY) : Je m’appelle Sitty Saidat Youssouf. Je suis métisse d’origine comorienne et malgache. J’ai 24 ans. Avant d’être créatrice de Mode, je suis une passionnée de danse moderne et culturelle. Je voulais en faire ma carrière. Je faisais du break dance, ce qui m’a donné l’opportunité de travailler en tant que danseuse avec des artistes mondialement connus, et notamment la célèbre chanteuse étrangère Lynsha, lors de son Concert aux Comores. Je faisais aussi partie de la danse traditionnelle. J’étais même la meneuse de danse traditionnelle et chorégraphe du biyaya lors de la présentation: le guide du nouvel arrivant permettant de découvrir et redécouvrir les richesses du pays, présentées par l’association « Moroni Accueil ». J’ai donc participé à plusieurs spectacles de danse à travers le pays, comme dans la célébration de la journée internationale des droits de la femme au Retaj le 13 avril 2019. J’ai aussi pris part aux deux spectacles du lancement de la première école de danse de salon aux Comores K’dance. J’ai également contribué en tant que choriste au premier concert de Lee Nossent (un chanteur Comorien) fait aux Comores. J’ai été sélectionnée par le chanteur Chebli M’saidié pour participer en tant que choriste au Twarab live du 30e Anniversaire de l’alliance française de Moroni et l’anniversaire de l’orchestre ACEM de Ouellah Mitsamihouli. J’ai accompagné Chebli Msaidié, l’orchestre HIYARI NOUR de (NDROUANI BAMBAO) et ACEM de (OUELLAH MITSAMIHOULI. Je suis pareillement un mannequin depuis 2015, dans l’agence de l’Alliance française créée par monsieur Pierre Barbier.

Masiwa – Vous avez un parcours professionnel très équilibré, pourquoi avez-vous décidé de tout lâcher pour vous concentrer uniquement sur la création des modes ? 

SSY : La couture est pour moi,  une passion. À peine 7 ans, je me souviens bien que je déchirais mes vêtements en petits morceaux pour en faire des tissus. A cet âge, j’avais déjà mon propre matériel, des aiguilles, ciseaux, files et je faisais des petites créations pour mes poupées et celles de mes copines du quartier. C’est un rêve d’enfance avec lequel j’ai grandi.

Ce n’est que pendant un concours de création de mode que j’ai réalisé que j’ai un énorme talent. Un concours initié par la fondatrice de la marque By Nyms Nora Issilam, dans lequel j’ai remporté le premier prix grâce à une robe que j’ai fabriquée à la main, fait à base d’un tissu de shiromani et d’une corde fabriquée à partir d’écorce de Coco made in Comores (Hamba). Cette victoire m’a ouvert des nouveaux horizons, notamment, elle m’a permis de faire mon entrée dans l’univers des créateurs et être élue l’ambassadrice de la marque By Nyms aux Comores. Je suis ce que j’appelle une artiste multidisciplinaire, après 5 ans de travail comme mannequin dans l’agence de mannequins de l’alliance française de Moroni Uzury Model (récemment devenu Comores Massiwa Modeling). Aujourd’hui, j’ai donc décidé de mettre fin à ma carrière de mannequin pour consacrer mon temps à la couture particulièrement traditionnelle. Un des talents que j’ai hérité de ma mère.

J’ai participé à pas mal de défilés de mode et travaillé avec des stylistes locaux et internationaux, notamment avec Fatima Ahmed de Djivani Création, créatrice marseillaise éco-responsable et sociale, originaire des Comores. J’ai travaillé également avec Antoine Farouk, Zakaria Mohamed, Mireille Rasoamiaramanana, Abdou chakour, Abou Hanifa, Anzlati, Dalya Mohamed Ali. J’ai participé également à un défilé de prêt-à-porter avec quelques boutiques locales.

J’ai récemment travaillé avec l’association Lainga Cultures de l’Océan Indien en vue de la préparation du 9e salon de Mode prévu très prochainement à la Réunion. Je profite aussi de ce moment pour vous annoncer que très bientôt, sera l’ouverture du premier showroom aux Comores situé à Badjanani. Un lieu convivial où nait le plaisir de faire du shopping. En plus de promouvoir notre culture comorienne de par ses tissus, By Nyms promeut  l’entrepreneuriat féminin.

Masiwa – Qu’est-ce qui vous a motivé à faire de cette profession votre priorité et quel est l’intérêt et quelles sont les difficultés à surmonter quotidiennement par rapport à ce métier ?

SSY : C’est des rêves que je m’étais promis de réaliser autant qu’ils soient, ce métier de styliste est plutôt une passion, une façon de contribuer au développement de l’art et la culture de la Nation en faisant honneur aux valeurs socio culturelle du pays.  Mais en dehors de mes passions j’ai une licence professionnelle en communication journalisme et multimédia, je suis community Manager et chargé de projet dans l’agence de communication Création Nextez. Certes, cela m’arrive de rencontrer quelques difficultés dans ce travail, comme passer toute la journée assise devant une machine à coudre  et rester éveillé à réfléchir sur des nouveaux projets modes n’est pas une chose facile mais quand on est une obsédée  comme moi,  on ne sent pas ces difficultés, mais  ça n’empêche  de dire que c’est quand même un travail qui demande beaucoup d’efforts, de courage, de motivation et de persévérance.

Masiwa – Vous gagnez combien comme salaire et quels sont vos tarifs ?

SSY : Les travaux sont en cours, mais par fautes de moyens, cette période est l’occasion pour nos femmes entrepreneuses de réfléchir à encore plus de solutions pour satisfaire au plus la clientèle. Elles confectionnent pour vous des Kimonos surpris pour hommes, femmes et enfants. Les prix vont de 13 000 KMF à 19 000KMF à la carte. Le kimono surprise c’est une façon de se faire un cadeau à soit même. By Nyms vous offre une façon de ne ressembler à personne avec un vêtement unique et sur mesure. Nous demandons à ce que les gens restent concentrés sur ce projet afin d’être les premiers à tester ce concept.

 

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