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Prières pour la libération d’AGWA

12 janvier 2022
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Prières pour la libération d’AGWA
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Cela fait un an depuis que le journaliste et activiste Abdallah Abdou Hassane dit Agwa a été enfermé pour 5 ans pour avoir voulu organiser une manifestation à Moroni. Jeudi dernier, les femmes de l’association « Mdzadze yendza yirumbi » ainsi que des sympathisants et des Comoriens épris de liberté se sont retrouvés à Ntsudjini, dans sa ville natale, pour prier et demander la libération immédiate et inconditionnelle de l’un de prisonniers politiques les plus célèbres du pays. Par Hachim Mohamed

Environ 200 personnes, venues de tout le pays, ont participé jeudi 6 janvier à 15 heures passées , à une prière silencieuse au  foyer Banati de Ntsoudjini pour demander devant Dieu la « miséricorde de libération » d’Abdallah Abdou Hassane alias Agwa.

Quelques participants étaient présents à titre politique, en tant que militants d’un parti politique. C’était le cas pour Ibrahim Abdourazak ou Mouigni Baraka.

« Un an déjà, jour pour jour que le patriote Abdallah Abdou Hassane alias Agwa croupit illégalement à la prison de Moroni. Son arrestation le 6 janvier 2021 n’a rien à avoir avec une procédure judiciaire. Le crime qui lui est reproché est d’avoir voulu organiser une manifestation pacifique laquelle est consacrée et protégée par la constitution de 2018 comme une des libertés publiques. Nous regrettons vivement les traitements hors normes qui lui sont réservés dans la mesure où ils sont perpétrés en dehors de tout cadre légal, en plus du fait d’être poursuivi dans les conditions les plus extraordinaires », a affirmé ouvertement son avocat Me Gérard Youssouf, en marge de la prière organisée par l’association « Mdzadze yendza yirumbi »et le collectif « Mpaka Daoula  ya haki », au foyer Banati de Ntsudjini, ce jeudi  6 janvier  2022.    

Un public nombreux – beaucoup d’enfants – est venu assister à cette séance de prières qui a vu par moments le spirituel se mêler au temporel.    

Les décors de la grande salle et le déroulement de la cérémonie obéissaient à un protocole qui sied avec la « miséricorde de libération » demandée à Dieu, plus précisément le côté solennel et grave de cet événement pour ce prisonnier politique.

Une salle comble.

Avec plus de 300 places assises, en triple rang les chaises du foyer étaient occupées par rangées de cinquante personnes et plus, et de nombreux enfants de la ville de Ntsoudjini habillés en tee-shirts jaunes étaient assis à même le sol pour lire le Coran comme le faisaient les garçons adultes et les filles ou femmes de l’association « Mdzadze yendza yirumbi ».

Dans cette salle comble, journalistes et grand public se pressaient, téléphones portables à la main pour filmer, photographier et pendant la cérémonie les prises de parole ont brisé les frontières entre le temporel et le spirituel, à commencer par celle du porte-parole du Front commun des forces vives contre la dictature, Ibrahim Abdourazak dit Razida. 

« Nous sommes réunis ici jeudi parce que jeudi est spécial pour les musulmans. Jeudi, de la part de Dieu, les anges descendent parmi nous avec la mission d’« évaluer la copie » de ce que nous avons fait pendant toute la semaine (…) Si  Dieu constate que nous respections ces préceptes de l’islam et que lui nous demandons quelque chose comme c’est le cas  avec  cette prière en forme de requête de libération d’Abdallah Agwoi, nous avons plus de chance qu’elle soit acceptée, et  nos vœux soient exaucés »,  a-t-il expliqué avant d’aller  plus loin.

« Nous demandons la miséricorde de Dieu parce que nous souffrons, nous sommes fatigués. Nous demandons sa miséricorde parce qu’au-delà des hommes, seul Dieu tout puissant peut nous sortir de cette impasse. Qu’Assoumani Azali arrête son simulacre de « Dialogue national », car ce pays  ne lui appartient  pas. Et  pour nos compatriotes, ce n’est pas en restant chez soi derrière son clavier qu’on va gagner cette bataille, mais c’est en venant au front  comme  nous le faisons  spirituellement et  temporellement  ici…»

On doit libérer Abdallah Abdou Hassane

S’agissant de la détention illégale d’Abdallah Abdou Hassane, selon son avocat, Maître Gérard, notre pays traverse une période inquiétante en termes de libertés publiques au point de se demander comment dans un pays prétendu civilisé on peut faire l’objet de poursuites dans l’exercice de ses droits constitutionnels !

Sans compter que les Comoriens sont témoins du déroulement de son procès ainsi que de son verdict historique. « On doit libérer Abdallah parce qu’il n’a pas volé, on doit le libérer parce qu’il n’a pas violé, on doit le libérer parce qu’il n’a pas insulté. Abdallah Abdou Hassane dit seulement non et non à ce régime. Libérez Agwa, libérez Agwa, libérez Agwa », a martelé un membre actif de « Mdzadze yendza yirumbi », Djamila.

Conscients que la détention de l’« enfant » de Ntsoudjini est illégale et arbitraire, après la cérémonie de prières, les organisateurs et ses proches ont entamé  une marche pacifique  dans la ville. La foule, grossie par des sympathisants et militants politiques a défilé et s’est mise à exprimer bruyamment son indignation, son « écœurement » dans la rue et surtout à scander en chœur le nom du célèbre prisonnier.

À 16 heures passées, partout dans Ntsoudjini, résonnaient en boucle les cris « Libérez Agwa ! Libérez Agwa ! Libérez Agwa ! »

Mépris le plus total de l’État de Droit.

Le constat était général dans la foule : le gouvernement piétine sciemment aussi bien les droits constitutionnels de l’accusé que la vie de concitoyens. À en croire Maitre Gérard, il n’est plus possible de rendre visite à Abdallah Agwa si on n’est pas membre de sa famille directe ou l’un de ses avocats. De plus, cette décision d’interdiction de visite hors de la procédure judiciaire n’a nullement été notifiée aux avocats.

« Pas de jugement, pas d’ordonnance pour signifier que les visites pour notre client ne sont plus autorisées. Et pire quand nous avons saisi par courrier le ministère public au sujet de cette entorse au code de procédure pénale, notre demande a été classée sans suite. Vous vous rendez compte ? On autorise toute personne à visiter les violeurs, les tueurs et tous les vulgaires malfrats, mais pas Abdalllah », regrette ce fervent défenseur du droit.

Un autre rassemblement pour des prières avait été prévu dans la capitale, Moroni, mais elle a été interdite par le gouvernement qui craignait des manifestations.

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