Parfois les circonstances incitent à plus de prudence. En cette période de crise post-électorale, «sous contrôle», tout est possible et imaginable.
[ihc-hide-content ihc_mb_type=”show” ihc_mb_who=”2,3,4,5,6,9″ ihc_mb_template=”1″ ]D’ailleurs la journée de lundi 8 avril l’atteste. Après 12 jours aux mains de la gendarmerie nationale, l’ancien candidat Soilihi Mohamed, alias campagnard, a été présenté au juge d’instruction, hier dans la matinée. Il est sorti libre, mais «sous contrôle judiciaire» confiera une source.
Un temps prévu de parler à la presse à 15heures, la rencontre a été reportée, puis confirmée vers 17H30 au domicile de Campagnard. En guise de déclaration, Soilihi Mohamed a remis, sans mot dire, aux journalistes présents une déclaration aux allures de reddition totale et de reniement.
S’il est certain que ladite déclaration révèle un autre visage du candidat, le style et le niveau de langage utilisés ne correspondent pas aux communiqués habituels de son staff.
Dès lors, entre le discours enflammé de Mitsamihouli et la déclaration de Chezani, qu’est-ce qui s’est vraiment passé?
Pour le contenu, la rédaction préfère que chaque lecteur et lectrice se fasse son opinion. On y reviendra dans nos prochaines éditions[/ihc-hide-content].