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ÉDITORIAL : Tout se décide à Beit-Salam ?

23 août 2021
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ÉDITORIAL : Les Comores en chute libre
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Depuis 2016, Beit-Salam s’est érigé en centre de gravité de tout ce qui concerne les Comores, quel que soit le domaine. L’illégitime locataire du Palais présidentiel a pu transformer tous les détenteurs des autres pouvoirs notamment législatif et judiciaire en véritables marionnettes. La séparation des pouvoirs n’est plus une réalité. Pourtant, dans nos écoles, depuis des décennies en état de convalescence, on continue à enseigner qu’entre les trois pouvoirs s’érigent deux murs d’acier pour l’indépendance totale de chacun.

L’État, c’est moi.

Est-ce pour autant que les autres membres du gouvernement, les élus et les juges qui couvrent les actes inhumains commis dans ce pays peuvent se déresponsabiliser ? Les arrestations arbitraires, les tortures et même les assassinats peuvent-ils n’avoir qu’un seul responsable ?

Lorsque les crimes commis dans un pays ne sont pas les actes d’un homme seulement, mais de tout un système et de tous les rouages des pouvoirs, c’est que le mal a atteint l’os, comme on dit par ici. Peut-on parler d’erreurs judiciaires ou de fautes dramatiques pour qualifier les bavures de notre Justice ? Je pense qu’on peut sans crainte parler de faute dramatique judiciaire, car depuis très longtemps le nombre de personnes condamnées ou libérées sans respecter les règles et les procédures est trop élevé.

Une Assemblée sans opposants

Il semble qu’à partir de 2018, tout force pouvant favoriser la paix sociale, la paix économique et la paix politique a été écartée. Après les fraudes et la non-prise en compte des bulletins de vote aux présidentielles de 2019, Beit-Salam a tripatouillé pour avoir la main sur les législatives et installer uniquement des partisans du chef de l’État à l’Assemblée de l’Union. Les débats contradictoires au sein de l’Assemblée ou entre celle-ci et Beit-Salam ne sont plus de mise. Nous avons, sans doute pour la première fois, seulement des députés du parti présidentiel, la CRC et un seul du parti Orange du ministre de l’Intérieur. Il n’y a donc aucun opposant et les lois passent comme des lettres à la Poste.

Les parlementaires, les juges et les forces de l’ordre agissent en accord avec Beit-Salam pour interdire depuis trois ans tout rassemblement et toute manifestation quel qu’en soit le motif. Le Préfet du Badjini a même innové il y a quelques semaines en interdisant dans sa région toute réunion politique dans un lieu privé.

Députés, Juges et injustices

Tous les manifestants appréhendés depuis 2018, même ceux qui autour d’Abdallah Agwa ont juste prévu de manifester, sont accusés de tentative de déstabilisation par le gouvernement et enfermés par les juges.

Cela a pour conséquence que tous les opposants d’envergure sont en prison ou en fuite en France ou à Mayotte. Dans les prisons ou les résidences surveillées, se trouvent actuellement un ancien Président de l’Union, un ancien Vice-Président, candidat aux présidentielles de 2016 et un Gouverneur enfermé alors qu’il n’avait même pas fini son mandat. Aucun procès n’est indépendant, le gouvernement fixe le calendrier judiciaire (annoncé récemment par le Porte-Parole du gouvernement à la sortie du Conseil des ministres) et fixe le châtiment.

Sambi, victime de sa popularité

Le prisonnier le plus emblématique est l’ex-président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, mis en résidence surveillée par une simple note du Secrétaire Général du ministère de l’Intérieur depuis maintenant plus de trois ans d’abord pour truble à l’ordre public, puis pour corruption et détournement.

Du début jusqu’à maintenant, « l’affaire Sambi » ne respecte aucune procédure judiciaire. Au lieu de corriger cette faute grave, l’ancien procureur de la République a fait croire aux Comoriens que la Justice comorienne a ouvert une enquête sur cette affaire pourtant maître Mahamoud, avocat de Sambi ne cesse de faire constater les irrégularités de la Justice. Il est clair que Sambi est victime de sa popularité.

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