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Conférence internationale interpartis Russie-Afrique , Hamada Madi Bolero plaide pour un resserrement des relations

12 avril 2021
Temps de lecture : 3 mins
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Conférence internationale interpartis Russie-Afrique , Hamada Madi Bolero plaide pour un resserrement des relations
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Dans le cadre de la préparation du sommet Russie-Afrique2022, une conférence internationale s’est tenue le 25 mars dernier entre Russie-Unie, parti de Vladmir Poutine et des représentants de partis politiques majoritaires issus d’une vingtaine d’États du continent africain. L’ancien premier ministre comorien Hamada Madi y est intervenu en tant qu’expert international dans cette rencontre qui avait comme thème « Russie-Afrique : faire revivre les traditions » Par Faïssoili Abdou

 « Paix, sécurité, et lutte contre l’ingérence », ce sont là, les trois principaux axes de l’intervention de Hamada Madi Boléro qui s’est exprimé par visioconférence depuis Mwali. Il s’agit là des sujets d’une actualité brulante dans notre région, si l’on se réfère notamment au regain d’intérêt que revêt aujourd’hui l’océan indien, objet de convoitise des grands pays qui cherchent à y étendre leurs zones d’influences. On n’oubliera pas bien évidemment les questions de sécurité liées au terrorisme qui menace la zone parallèlement aux projets pétroliers qui jaillissent dans notre espace. La récente attaque de Palma au Mozambique est encore vivace dans les esprits.

Comores : une décolonisation inachevée

L’ancien premier ministre qui est intervenu en qualité d’expert international d’une commission chargée de préparer le prochain sommet Russie-Afrique de 2022 a planté le décor dès l’entame de son intervention en soulignant le caractère singulier de la décolonisation comorienne. « Mon propre pays, les Comores, reste à nos jours, le seul pays au monde ou en tous les cas en Afrique dont la décolonisation entamée en 1975 n’a toujours pas été effective », a souligné Hamada Madi dans son discours faisant allusion à l’épineuse question de Mayotte qui oppose depuis 1975 les Comores et la France, ancienne puissance coloniale qui administre cette île. Celui qui a assumé les fonctions de secrétaire général de la Commission de l’océan indien (COI) de 2016 à 2020 rappelle ensuite que « la question de l’ingérence, nous la connaissons (…) bien dans notre région qui, de la fin des années 40 au tout début des années 90 du siècle passé, a été immergée dans la guerre froide, dans un jeu de puissances où elle n’était qu’un espace à défendre ou à conquérir selon les cas. Influence économique, pression militaire, aide budgétaire, coups d’État quand il en fallait, tous les coups étaient permis pour la maîtrise de l’océan Indien. Et cet exemple très régional que je cite pourrait être étendu à toutes les régions de l’Afrique. »

Les conséquences de la guerre froide

Dans cette même lancée, Hamada Madi ajoute à propos de cette situation « ce que l’on croyait éternel s’est effondré en 1989 avec la dislocation de l’URSS et la fin subite de la guerre froide. Désormais, il n’y aurait plus de modèles alternatifs, plus d’ingérences au pluriel, mais une seule ingérence, c’est-à-dire une hyperpuissance dotée d’un mode de pensée unique. Nos pays africains, petits et grands, avons dû nous plier à cette nouvelle situation et oublier nos rêves d’un monde authentiquement multipolaire. ».

Après ce constat, il relèvera le changement intervenu dans les relations internationales avec l’arrivée de Poutine au pouvoir qui « grâce à des efforts constants a permis le retour de la Russie sur la scène mondiale. ». Et ce retour fracassant contribuera par la suite «  a modifié en profondeur le cours des choses et redonné de la respiration aux relations internationales », souligne celui qui a fait ses études en Russie. « Nous en revenons aujourd’hui à un modèle de sécurité et de développement régional africain moins univoque. Nous avons d’abord une « architecture de sécurité africaine » encore modeste et insuffisante, mais en qui nous devons déposer nos espoirs pour le futur », s’est-il réjouit.

 

Cet homme politique de premier plan a vanté les mérites de la politique étrangère de la Fédération de Russie basée surtout « sur la non-ingérence dans les affaires internes des États ». Une disposition qui, à l’en croire, offrirait « aujourd’hui une formidable option de sécurité et de développement dans le respect de nos valeurs, de nos croyances et de notre souveraineté », a-t-il insisté. Hamada Madi Bolero a ainsi plaidé pour le resserrement des liens entre la Russie et les États africains. « Nouer des relations d’amitié et de coopération avec Moscou c’est aussi renouer avec l’esprit des Non-alignés et de la conférence de Bandung qui a été une des sources intellectuelles les plus fécondes de notre histoire mondiale et africaine contemporaine. », lancera-t-il nostalgique.

Il est à noter que Hamada Madi Boléro a fait tout son discours en russe, et qu’avec ce discours, il se place sans doute au cœur de la nouvelle politique russe en Afrique.

 

 

 

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