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Ben Amir Saadi, patron de Maana : « Je paie certainement aussi mes prises de position contre le pouvoir »

25 octobre 2019
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Ben Amir Saadi, patron de Maana : « Je paie certainement aussi mes prises de position contre le pouvoir »
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Il y a quelques jours les supporters des Coelacanthes ont appris que la Fédération avait choisi un autre équipementier et que la collaboration avec Maana était terminée. Le patron de Maana l’a appris aussi par les réseaux sociaux. Propos recueillis par Ali Mbae

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Masiwa – La Fédération de Football des Comores (FFC) vient de remplacer Maana, votre société par un autre équipementier, avez-vous le sentiment d’avoir été trahi ?

Ben Amir Saadi – Je ne parlerai pas de trahison, mais plutôt d’ingratitude. Cela faisait quatre ans que nous habillions l’équipe nationale en essayant d’y mettre tous les ingrédients possibles pour doter les Coelacanthes d’équipements originaux et de bonne qualité. Et au vu des réactions des principaux concernés, que sont les joueurs, mais aussi les supporters qui ont bien accueilli nos produits, le pari, qui n’était pas gagné d’avance, a été réussi. Et d’apprendre sur les réseaux sociaux, comme tout le monde, que Maana n’équiperait plus les Veripiya a été une grande déception, mais cela ne m’a pas surpris outre mesure.

Masiwa – Pensez-vous que ce changement est lié à votre soutien au président Said Ali Said Athoumane ?

Ben Amir Saadi – Je tiens à préciser que je ne soutiens pas Said Ali Said Athoumane (SASA) en tant que Président de la FFC, je le soutiens face à l’injustice dont il est victime en tant qu’homme. On ne peut pas accepter ce qui se passe actuellement dans l’institution et c’est ce que je dénonce. N’oubliez pas que le Président SASA était le premier à vouloir remplacer Maana par la marque italienne Errea. J’aurais donc pu être indifférent à ce qu’il lui arrive, mais ce n’est pas dans ma mentalité de fermer les yeux sur les injustices. Et au-delà de ce qui se passe à la fédération, je paie certainement aussi mes prises de position contre le pouvoir. Mais si je dois payer le prix pour avoir un peu plus de justice et un peu plus de bonne gouvernance, je l’assume.

Masiwa – Qu’est-ce que Maana a apporté à la sélection durant ces quatre dernières années ?

Ben Amir Saadi – Tout d’abord, nous avons ramené une stabilité dans les équipements. Ce qui nous faisait défaut à chaque rassemblement. On ne savait jamais si on allait avoir les tenues complètes pour nos entraînements et pour les matchs. Nombre de fois, avant l’arrivée de Maana sport, on devait se contenter des maillots de match et on se débrouillait avec les chasubles et les tenues personnelles de chaque joueur pour les entraînements. Cela ne faisait pas professionnel et n’incitait donc pas les joueurs qu’on ciblait à vouloir venir nous rejoindre. Et même pour les maillots de match, les joueurs se plaignaient de devoir entrer sur le terrain en seconde mi-temps avec le même maillot qu’ils avaient porté en première. Si en amateur c’est tout à fait normal au haut niveau, cela est un handicap. Bref, on avait de gros souci en termes d’équipement et c’est la raison pour laquelle Dieu m’a inspiré pour créer Maana sport. Pour répondre à tous ces problèmes et apporter une identité vestimentaire à l’équipe nationale comme c’est le cas pour les grands clubs ou les grandes nations du football. Aujourd’hui le maillot des Comores est clairement identifié comme on peut identifier le maillot du Barca, du Brésil ou de la Juventus.

Masiwa – Maana était un nouveau-né, comment avez-vous pu assurer les problèmes rencontrés en si peu de temps ?

Ben Amir Saadi – C’était un gros pari et un grand challenge. D’ailleurs à la fédération très peu de gens croyaient en notre réussite. Dès le départ j’ai décidé de faire les choses de manière professionnelle. Je me suis donc entouré d’une jeune styliste qui avait fait ses preuves dans le sportswear, d’un modéliste chevronné et d’un designer qui m’ont apporté leur savoir-faire. Le premier maillot, qui s’inspirait du maillot adidas qu’on avait l’habitude de porter, était déjà très réussi, aussi bien au niveau de la coupe que du design et ça a de suite plu à nos joueurs et nos supporters. Et le fait d’avoir aussi débuté contre le Ghana, une très grande nation du football africain, cela nous a boostés. Le match était télévisé et l’équipe a très bien joué. Tout cela nous a permis de démarrer sur de bons rails. Il nous fallait ensuite derrière assurer en termes de fabrication pour répondre aux exigences de l’équipe nationale.

Masiwa – Que gagnait Maana sur son partenariat avec la FFC ?

Ben Amir Saadi – Il faut savoir que depuis le début jusqu’à ce jour, nous avons toujours proposé des contrats à la fédération qu’elle n’a jamais signés ou n’a jamais voulu signer. L’engagement que j’avais donc pris, vu que j’étais aussi manager général de la sélection, était de ne jamais faire payer le moindre centime à la fédération pour qu’on ne puisse pas m’accuser d’un conflit d’intérêts. Sans contrat, je pouvais donc du jour au lendemain m’arrêter de fournir l’équipe nationale ou la fédération pouvait aller chercher meilleure proposition ailleurs, mais ça n’a jamais était le cas. Pourquoi? Car ceux qui connaissent le milieu du football et des équipementiers en Afrique savent que les équipementiers ne sont pas rentables si ce n’est auprès de certaines grandes nations comme le Cameroun, le Maroc, l’Algérie, le Ghana… Et qu’aucun équipementier n’accepterait de faire ce que nous faisions sans garantie financière. C’est d’ailleurs pourquoi Errea n’est pas devenu l’équipementier des Coelacanthes, car la FFC ne pouvait pas assumer cette garantie.

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